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Un levier incontournable pour vivre heureux
J’aborde la question de la confiance en soi avec, surtout, les raisons de la booster. Faire en sorte de la nourrir, qu’elle augmente, qu’elle s’installe, qu’elle prenne de l’envergure. A la question « Pourquoi booster sa confiance en soi », je réponds que c’est indispensable pour vivre heureux. C’est loin d’être une option.
Qu’est-ce que la confiance ?
Avant d’aller plus loin, redéfinissons succinctement la confiance : elle est la capacité à donner avec une sorte de lâcher-prise, une forme de détachement. On donne dans le but que la chose confiée (d’où vient le mot confiance) soit traitée d’une manière qui corresponde à ce que nous considérons nécessaire pour cette chose-là.
En d’autres termes, lorsque l’on confie quelque chose à quelqu’un et que cette personne en prend soin ( ce qui signifie qu’elle l’amène à un résultat qui correspond à celui que nous avions intérieurement attendu) nous augmentons la confiance dévolue à cette personne.
L’inverse est également valable ; si la personne utilise, gère et amène à un résultat différent de celui attendu, on aura tendance à diminuer la confiance donnée à cette personne.
En définitive, on construira la confiance à partir de la lecture faite sur la manière d’un autre de vivre la gestion de ce qui lui a été confié. Notre manière de jauger la décision de confier ou pas davantage de soi à l’autre peut démarrer avec une manière de gérer les paroles, un objet, un enfant, etc. qui lui ont été confiés.
La confiance par l’exemple
Afin de mieux comprendre le jeu de la confiance, imaginez que vous me confiiez une somme d’argent plus ou moins importante. Vous aurez à gérer la valeur prêtée en fonction de l’impression que je vous fais.
Dans une démarche initiale de décision de confiance envers quelqu’un, vous avez antérieurement déterminé la somme à confier. J’utilise sciemment le domaine financier parce qu’il s’y trouve une valeur que nous connaissons tous.
À une personne, je pourrais aisément prêter 1000 € alors que je ne prêterai jamais autant à une autre personne. Dans le même temps, il me sera possible d’en prêter 10 000 € sans aucun problème. Vous percevez que la décision est fondée sur un préjugé (un jugement antérieur) attaché à l’impression irrationnelle que j’ai de la personne à laquelle je prêterai la somme.
La manière dont la somme prêtée sera gérée déterminera ma décision à venir à prêter encore ou davantage d’argent.
Confiance et valeurs
Prenons conscience que notre décision de faire confiance est relative à nos propres valeurs. Finalement, on demande aux gens d’être raccord avec nous-mêmes. À partir de là, nous décidons d’augmenter la confiance attribuée. En conséquence, à chaque fois une personne n’est pas raccord avec nous, qu’elle est en « trahison de nos valeurs », pratiquant ce que nous avons considéré comme une mauvaise gestion de ce qui lui a été confié, nous l’associerons à un manque de respect de nous-mêmes (de nos valeurs). Ainsi, nous déciderons de baisser notre confiance en cette personne.
Nous nous basons sur les actes. Nous fondons notre perception et nos décisions sur les actes des autres. Sur la manière dont ils ont agi dans la gestion des biens confiés dans le passé.
La capacité à se faire confiance
Une question se pose sur notre capacité à nous faire confiance à nous-mêmes. Vous comprenez que plus on est raccord avec nos propres valeurs (plus nos actions témoignent du fait que nos choix sont en accord plein, en congruence) et plus on sera en mesure de se faire confiance à soi-même.
Une des conséquences est que plus on se rend compte que l’on se ment à soi-même et moins on aura confiance en soi. Et oui, quand on ne respecte pas ce qu’on considère comme bien (ça peut se voir quand on est convaincu qu’une chose est bonne et bien et qu’on agit contrairement à ce qu’on estime bon et bien, tout comme l’inverse) et plus on multiplie le nombre d’expériences dans cette dynamique contradictoire est intense et moins on aura confiance en soi. Du coup, nous investissons de moins en moins en nous-mêmes.
On peut ajouter que plus on se rend compte que l’on ment aux autres, leur faisant croire à quelque chose qui ne correspond pas à qui l’on est, plus on entamera la confiance que l’on place en soi-même.
Il apparaît évident que l’on est le premier responsable de la confiance placée en soi. Si donc nous avons une confiance en nous-mêmes en croissance, nous savons être responsables de la nourriture de cette confiance-là. A l’inverse, si la confiance en soi est en berne, en décroissance avec le temps, nous savons être également responsables de cette baisse de confiance.
La prise de conscience salutaire
Attention, je ne vous ai pas demandé d’aller commander un martinet à clous dans je ne sais quel monastère pour vous flageller et vous faire souffrir en vous disant « c’est ma faute, c’est ma plus grande faute, c’est moi qui suis responsable de mon manque de confiance en moi. Comme je n’ai pas assez confiance en moi, je ne mérite pas d’être heureux… ». Je ne vous ai pas demandé de faire ça. Je vous invite juste à prendre conscience de la situation : « Je n’ai pas suffisamment confiance en moi parce que…
- j’ai fonctionné d’une manière qui a nourri cette baisse progressive de confiance en moi.
- Dans mes fonctionnements et dysfonctionnements, je reconnais m’être menti à moi-même.
- Je reconnais avoir joué un rôle trop fréquemment dans ma relation avec mes parents et mes amis.
- Une fois rentré chez moi, je me rends compte que je n’ai pas vraiment été moi-même.
- Je n’ai pas dit ce que je pensais. Ainsi, j’ai creusé un fossé entre moi et moi-même par refus d’être congruent. J’ai donc semé des lacunes de confiance en moi-même.
- J’ai conscience également que dans ma relation avec les autres, au-delà de mes parents, je me fais croire des salades :-).
Sur Heureux au présent, vous avez remarqué que je répète régulièrement de ne jamais se mentir à soi-même. Dans le cercle relationnel que j’ai abordé dans un podcast que je vous invite à lire en suivant le lien précédent, j’ai insisté pour dire que dans le cercle A, je ne raconte jamais de bobards.
Quand je me suis rendu compte que j’en ai raconté, je prends conscience de la situation en me disant « Pascal, là, tu t’es raconté des bobards. Arrête ! Sors de cette situation, parce que plus tu te racontes des salades et plus tu mineras ta confiance en toi. Et puisque tu mines ta confiance en toi, tu mèneras également ta confiance dans les autres et ton développement personnel ».
La confiance en soi se nourrit de la confiance en l’autre
En effet, la confiance en soi se nourrit de la confiance placée dans les autres. Ça vous permet de mieux comprendre certains fonctionnements propres. Vous vous dites que vous avez l’impression d’avoir plus confiance en un autre qu’en vous-même, parfois ! Ça peut arriver, en effet. Parfois on a l’impression d’aimer plus les autres que soi. Ma question est : est-il vraiment possible d’aimer plus quelqu’un d’autre que soi ? Pourquoi ? Qu’est-ce que ça peut vouloir dire de soi, de croire en cette hypothèse ?
La confiance en soi se nourrit de la confiance dans les autres. Nous avons besoin de pratiquer la confiance dans deux grands domaines : la confiance dans les autres et la confiance en soi. Or, le tout premier outil à utiliser, mentionné dès le début de ce rendez-vous, est de ne pas se raconter de salades. Ne vous mentez pas, soyez vous avec vous-même parce que vous en avez besoin.
La confiance en soi est un auto-booster de confiance
Booster sa confiance en soi conduit à vivre une ascension quasiment permanente. En fait, accueillir la confiance en soi fait que l’on aura davantage envie d’avoir davantage confiance en soi à l’avenir. Finalement, la confiance en soi est un auto-booster de la confiance en soi. En plus, elle permet d’accueillir de manière plus apaisée la relation à l’autre. Parce qu’on a l’impression qu’il y a moins de menaces. L’impression d’être au bon endroit au bon moment augmente. On décuple ainsi son bonheur. On l’installe, ou plutôt, on l’instaure.
Pourquoi booster sa confiance en soi ? Pour instaurer son bonheur.
Comment booster sa confiance en soi ?
1. L’image de soi
En travaillant sur l’image de soi. C’est le tout premier rendez-vous du blog Heureux au Présent. Vous avez compris qu’il n’y a pas de hasard. C’est suite à une réflexion que ce tout premier podcast a été posté.
Il n’y a pas non plus de hasard de constater qu’il est le podcast le plus écouté et le plus consulté sur le blog Heureux au Présent. À lui seul, il comptabilise plus de 500 écoutes. Je profite de ce rendez-vous pour vous encourager à lire cet article ou à écouter le podcast ce n’est pas encore fait. Pour information, il comprend un exercice offert que vous pouvez télécharger en PDF pour le faire chez vous et commencer à creuser l’image que vous avez de vous-même. Ce dernier se trouve aux pieds de la retranscription du sujet.
Dans ce tout premier rendez-vous, je décris les étapes par lesquels on passe pour participer à la construction de l’image de soi. Ça a l’énorme avantage de faire que, arrivant vers la quarantaine, on sait dans quelle phase de vie on se trouve. On sait ce que l’on a vécu précédemment, on connait à peu près les grandes lignes de ce qui nous attend comme on pourrait le prédire pour un arbre fruitier que l’on a planté dans son jardin.
2. L’estime de soi
Ensuite, pour booster sa confiance en soi, on peut travailler également sur son estime de soi. L’image de soi et l’estime de soi ne sont pas synonymes. L’image de soi participe à l’estime de soi. «Plus je me fais confiance parce que je suis honnête avec moi, plus je m’accepterai et m’aimerai comme je suis». Ça nous conduit à cesser de vouloir être un ou une autre personne. J’ajoute que ça coupe toute l’envie de vouloir être comme un autre.
3. La créativité
D’autre part, booster sa confiance en soi augmente sa créativité. En effet, le fait d’avoir davantage confiance en vous, vous conduira à avoir un regard moins critique (dans le sens condamnatoire) sur vos actions et vos choix. Vous aurez l’impression que vos idées sont moins saugrenues que vous l’auriez pensé si vous aviez une confiance en soi en berne.
4. L’affirmation de soi
Une des voies de conséquences suivantes est que vous oserez vous affirmer. Du coup, face à quelqu’un qui ne pense pas comme vous, qui ne voit pas les choses comme vous, vous serez à l’aise. Vous accepterez qu’il est naturel qu’un une personne voie les choses différemment de vous, ne comprennent pas les choses comme vous, ne les perçoivent pas et, pour aller plus loin, estime que vous êtes dans l’erreur.
Vous serez prêts à l’accepter comprenant qu’il est tout à fait entendable que tout le monde ne soit pas d’accord au même moment. La différence de perception ne sera plus perçue comme une menace. Vous ne ressentirez donc pas le besoin de vous défendre.
Vous savez qu’il existe plusieurs phases en innovation. On dit qu’il y a les précurseurs ou innovateurs. Ce sont ceux qui, suite à une nouveauté ou un changement, sont les premiers à adhérer. Ils trouveront que c’est super et acceptent aisément le changement.
Évidemment, les précurseurs ont confiance en eux. En effet, au moment où ils font le choix d’adopter l’innovation, la nouvelle stratégie, la nouvelle approche ou le nouveau produit, les autres pensent que c’est n’importe quoi. On les prend pour des illuminés. L’affirmation de soi permet de faire fi de l’avis de la grande majorité.
A présent, visualisez une sorte de courbe ci-dessous. Elle illustre le phénomène de confiance en soi. D’ailleurs, elle est assez proche du phénomène d’acquisition-régression, quand on apprend quelque chose de nouveau.
5. La prise de risque mesuré
Un autre bienfait qui peut motiver à booster sa confiance en soi est la prise de risques mesurés.
Moins on a confiance en soi et moins on prendra de risques. Cela veut dire que plus on restera dans sa zone de confort et moins on augmentera sa confiance en soi. Malheureusement, il est à noter que la zone de confort peut inclure des choix délétères. Malgré leurs caractères néfastes sur notre propre santé, qu’elle soit mentale ou physique, il est possible que nous préférions y demeurer. Or, un des effets corrélés à ce genre de situations est la baisse de la confiance en soi.
Si en tant que gamer on peut passer un temps fou à jouer à la console, en même temps, on sait que ce n’est pas bon pour soi (sauf dans le cadre d’une profession, bien entendu). Mais en même temps, comme on est à l’aise dans cette posture de gamer, elle nous rassure. On n’y apportera donc pas de changement puisqu’on s’y trouve en sécurité en se reconnectant à ce que l’on connait déjà.
On ne sait pas encore qui on sera quand on cessera d’être gamer addict. Comment va ton gérer son temps ? À quoi ressemblera-t-on ? Comment se sentira-t-on en dehors de sa zone de sécurité ? Et, à cette dernière question, la réponse tombe rapidement et sans réflexion : en insécurité.
Il y a quelques semaines, je prenais la mesure de la difficulté que vivait Sophie (le prénom a été changé). En même temps, j’entendais sa clairvoyance sur sa propre peur d’envisager de changer. Et dans le court échange que nous avons eu ensemble, elle a osé me dire « je ne sais pas vraiment si je veux changer ». Même dans son problème, elle se sentait en sécurité, rassurée par ce qu’elle connaissait.
La prise de risque mesurée permet de booster sa confiance en soi. Le fait d’accepter d’envisager de changer augmente la capacité à se faire confiance.
Vous posez la question « Pourquoi booster sa confiance en soi» ? Parce que c’est un des meilleurs moyens d’entrer dans un programme de changement perpétuel. Et ce dernier vous conduit à vous développer personnellement.
6. Développer ses capacités et potentiels
Autres raisons qui peut répondre à la question «pourquoi booster sa confiance en soi», c’est que ça participe à développer ses capacités et potentiels.
On a envie d’en apprendre davantage, d’apprendre à faire autrement. On a envie d’apprendre à faire mieux, à faire différemment. Et finalement, ça introduit la néophylie, évoquée de temps en temps sur Heureux au Présent. Elle vise les personnes qui aiment la nouveauté.
On a moins peur de l’inconnu. Si on ne connaît pas une chose, on se dit qu’on va apprendre. On trouve normal d’envisager des moyens d’accéder à ce que l’on ne sait pas faire. Ainsi, on cherchera à apprendre des choses qui nous paraissaient inexistantes, impossibles ou au-delà de nos compétences il y a peu.
7. Réduire le stress et installer la sérénité
Tout ça participe à réduire le stress. Par voie de conséquences, ça baissera l’angoisse réduisant le risque de dépression et de déprime.
Comme la confiance en soi et qui on a raté quelque chose, on se dira « comment puis-je faire pour réussir ce que j’ai raté ?». Quand on manque de confiance en soi et qu’on a raté quelque chose, on va se dire « je ne suis pas à la hauteur, je suis un capable ». Pourquoi booster sa confiance en soi ? Parce que ça permet d’éviter le piège que j’ai abordé tout dernièrement dans le podcast qui s’intitule « Vous n’êtes pas ce que vous faites ».
8. L’amour pour les autres
Quand on booste sa confiance en soi, on augmente l’amour pour les autres. Ça augmente aussi la capacité à accepter les erreurs des autres.
La relation aux autres devient plus légère. Pourquoi ? Parce qu’elle nous place en responsable de nos propres ressentis sans avoir à chercher à se protéger en permanence. En conséquence, l’envie de fuir la relation (qui peut être source de conflits) diminue peu à peu.
9. La peur
Vos avez compris que la confiance en soi réduit l’émotion de peur. En lien avec cette émotion, ça réduit la fréquence et, par voie de conséquences, la culpabilité. Quand on réalise que l’on n’a pas été dans les clous de ce qui aurait été mieux, on se projette sur la manière de faire les choses à l’avenir.
10. L’acceptation des autres
Ça augmente aussi le seuil de tolérance, l’acceptation de la différence et le sentiment de la paix intérieure.
La confiance en soi se nourrit de deux carburants : la confiance que l’on a précédemment placée en soi + la confiance placée en les autres.
Jouez avec ces deux pôles comme si vous aviez une jambe de confiance en les autres et une autre de confiance en vous. On pourrait employer l’image d’un bras de confiance en vous-même et d’un bras de confiance en les autres. Quoi qu’il en soit, sachez que ça marche de paire.
Quand vous prenez quelqu’un dans vos bras, vous faites en même temps preuve de confiance en vous comme vous faites preuve de confiance en la personne que vous embrassez (au sens littéral du verbe embrasser).
Quand vous allez vers quelqu’un, que vous vous dirigez vers un endroit en utilisant vos jambes, vous faites un pas de confiance en vous et a pas de confiance en l’autre, une de vos jambes symbolisant le pas de confiance en vous et l’autre, le pas de confiance en les autres. Il vous faut faire autant de pas de confiance vers un autre que de pas de confiance en vous pour atteindre la même destination.
Tout ce que vous faites mêle ces deux univers ; la confiance en vous et la confiance en les autres. Quand vous faites un choix, prenez conscience que vous boostez votre confiance en vous et que vous avez tout intérêt à le faire puisque ça aura un impact sur les 10 points mentionnés depuis le début de ce rendez-vous.
Passez à l’action
En nourrissant votre confiance, vous actionnerez en même temps le levier pour accroître votre bonheur. Vous vous installerez dans un monde dans lequel vous rencontrez des difficultés et des joies, des choses difficiles et d’autres faciles, des défis qui vous paraissent des montagnes et d’autres qui vous paraissent des vallées dans lesquelles tout glisse. Dans ces deux univers, vivez les expériences les unes après les autres pour nourrir votre confiance en vous.
Exercice pour 24h
Pour terminer, je voudrais vous laisser un exercice :
Comment allez-vous vivre votre journée, si vous lisez cet article le matin, ou votre lendemain si vous lisez cet article le soir, en matière de confiance en soi ? Regardez-vous ce que vous vivrez, les endroits où vous irez, votre manière d’accueillir les autres avec cette réalité de la confiance en soi ?
J’ai parlé des bras et des jambes. Mais c’est également valable pour les yeux. Quand vous regardez quelqu’un ou une situation, imaginez qu’un de vos yeux joue le rôle de la confiance en soi et l’autre de la confiance en les autres.
Regardez les 12 ou 24 heures qui sont devant vous en choisissant de pratiquer la confiance dans les deux sens. J’entends par là d’appliquer la confiance en soi qui implique, par voie de conséquences inévitables, la confiance en les autres. J’aurais pu vous dire de pratiquer la confiance en les autres qui implique, par voie de conséquences inévitables, de pratiquer la confiance en soi.
Prenez conscience que vous êtes contraint·e, voire forcé·e, de faire confiance. C’est vital. On ne peut pas vivre sans confiancecomme on ne peut pas vivre sans confiance en soi.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine.
Bye-bye
Merci pour cet article complet sur la confiance en soi. J’apprécie particulièrement le discours de vérité auquel chacun est invité individuellement. Il s’agit vraiment de se regarder en face et se poser les bonnes questions avec honnêteté.
Merci Edna pour ton retour.
Merci également de souligner le discours de vérité auquel je tiens pour chacun d’entre nous. C’est une valeur nécessaire sans laquelle l’estime et la confiance en soi diminuent considérablement.
Je te souhaite un beau parcours
Article hyper complet avec de très bons conseils. J’ai beaucoup aimé quand tu fais un lien entre la confiance en soi et la confiance que l’on donne aux autres. Ceci explique cela 😊.
Merci
Merci Maéva,
J’aime ton expression « ceci explique cela ». C’est tellement vrai !
Merci beaucoup, tout est là pour que je prenne confiance, et cela me permet de mieux aller dans mes premiers pas sur mon blog
Magnifique ! Fonce et fais-toi du bien.