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De manière caricaturale, on pourrait dire qu’il y a deux groupes d’individus : les néophyles et les néophobes. Le premier groupe est constitué des personnes qui aiment considérablement la nouveauté. Elles trouvent dans les expériences en voie de découverte des occasions d’excitation. De même, elles aiment apprendre et s’ouvrir à ce qu’elles ne connaissent pas. Elles aiment le risque. Elles ont rarement besoin qu’on leur dise « Ouvrez votre esprit à la nouveauté comme à la différence».
Dans le deuxième groupe, les choses sont bien différentes. Les personnes qui s’y trouvent détestent ce qu’elles ne connaissent pas. Elles préfèrent être en contact avec ce qui a déjà fait partie de leur histoire pour une raison assez simple ; elles ont besoin de sécurité par conséquent, elle évite le risque, le considérant comme une menace, un déséquilibre.
Mettons l’accent sur les néophobes
Dans ce rendez-vous, je m’arrêterai sur les néophobes. Vous pouvez vous reconnaître ou reconnaître des personnes de votre entourage qui s’y retrouvent bien.
Si vous faites partie de ce groupe des néophobes, vous aurez envie de vous asseoir sur la même chaise quand vous vous rendez en salle de réunion. Vous avez une grande difficulté à goûter des aliments inconnus. De la même manière, vous fréquentez les mêmes restaurants, portez généralement les mêmes vêtements, allez est en vacances aux mêmes endroits, ne fréquentez que les mêmes personnes de votre cercle d’amis et pratiquez les mêmes loisirs depuis des années.
Comment reconnaître un néophobe ?
Le signe manifeste des personnes néophobes est l’anxiété. Ça n’a rien à voir avec l’excitation des néophyles ! Le simple fait d’envisager de sortir d’une habitude pour expérimenter quelque chose de nouveau génère de l’anxiété. Les néophobes ont besoin de vivre dans leur zone de confort avec une structure.
Besoin fort de sécurité
Leur besoin évidents est celui de la sécurité. Il est très difficile de parler des besoins de sécurité sans l’adosser à l’émotion qui s’y attache, à savoir, la peur. Ah ! Cette peur, quand elle nous tient !
Nous savons que la peur est le pire des conseillères en dehors des moments de crise et d’urgence vitale. Si vous avez à faire des choix, éviter absolument de les fonder sur la peur.
Si vous vous rendez compte que vous avez tendance à faire des choix de négation dans des domaines méconnus, vous savez par conséquent que vous avez fondé ces choix sur la peur.
L’avantage de la peur est qu’elle a pour objet d’annuler la prise de risque.
Quel remède pour s’ouvrir à la nouveauté comme à la différence ?
Le remède que je vous poserai commencera à s’articuler autour de questions avant de terminer sur trois actions. Je commencerai par des interrogations allant dans la direction de la prise de conscience personnelle :
- De quoi ai-je peur ?
- En quoi est-ce une vraie menace ?
- De quel ordre est cette menace ?
- Comment minimiser/annuler le risque ?
Pour continuer, je le ferai avec trois passages à l’action :
- Passer à l’action homéopathique
- Planifier une fréquence
- Fêter ses succès
Je prends le temps, dans ce rendez-vous, de vous expliquer chacun des remèdes que je viens de mentionner. Je vous les donne afin que vous puissiez les noter avant de passer à l’écouter des explications. Ainsi, vous pourrez mieux marquer vos choix autour de ces différentes questions et passage à l’action.
Ouvrez-vous à la nouveauté comme à la différence
S’il vous plaît, ouvrez-vous à la nouveauté. Bien entendu, si vous êtes néophyle, ce ne sera pas difficile. Profitez de votre sensibilité naturelle pour continuer à explorer des nouveautés en vous exerçant à faire des choix bons et mauvais comme nous l’avons évoqué lors du dernier rendez-vous. J’insiste sur le fait de faire des choix bons ET mauvais, en désamorçant la peur de faire de mauvais choix.
Si vous avez une tendance néophobe, vivez ces quatre questions et ces 3, passages à l’action tout en intégrant également, vous aussi, la nécessité de faire des choix bons ET mauvais dans le même but qui consiste à désamorcer la peur de faire de mauvais choix.
Prenez votre propre libération en main
Quelque part, je vous propose de vivre une la libération de vous-même. N’attendez pas qu’elle vienne de l’extérieur. Dans ces 30 jours pour vivre heureux, vous êtes l’acteur principal de votre bonheur. La libération de ne viendra pas de l’extérieur. C’est à vous de l’installer dans votre propre vie. Saisissez l’opportunité de ce rendez-vous d’aujourd’hui pour vous ouvrir à la nouveauté comme à la différence.
Si certains aspects de ces exercices vous paraissent difficiles, allez sur la page « Go ! Je passe à l’action » et profiter du rendez-vous offert de 30 minutes avec moi afin que je vous aide dans l’amorce de cet exercice.
À demain