89# Confondre erreur et et faute 1/2

confondre erreur et faute est une erreur

La cause nourricière d’une culpabilité injustifiée

Confondre erreur et faute 1/2

Je suis particulièrement content d’aborder ce sujet avec vous, aujourd’hui. Les fautes et des erreurs sont souvent présentes dans les discours de culpabilisation. Ils ont un impact dans l’image et l’estime de soi. Ils influent dans l’impression de réussite ou d’échec, qu’ils soient récurrents ou pas. Je me dis que ce sera justement bien pertinent d’autant plus que je trouve assez ironique, quelque part de pouvoir dire que confondre erreur et faute est une erreur.

Les révélateurs de la prise de conscience d’une erreur

Avant de m’arrêter sur la définition de l’erreur, voici quelques phrases qui sont souvent l’illustration de la prise de conscience d’une erreur :

  • Je pensais que ça passerait…
  • Je pensais que ça suffirait..
  • Je ne savais pas…
  • Je voulais aller plus vite et prenres le raccourci…
  • Je pense avoir compris ou avoir eu les compétences…

Ces phrases, qui sont là dans nos pensées et dans notre fonctionnement intérieur, illustrent la prise de conscience d’une erreur. Je voudrais m’arrêter aujourd’hui essentiellement sur l’erreur et m’arrêter la prochaine fois sur la faute pour consacrer ce rendez-vous à la notion d’erreur.

Qu’est-ce qu’une erreur ?

Je voudrais que l’on s’arrête sur la définition de l’erreur, pour commencer, afin de prendre la mesure de ce que c’est. L’erreur ne se positionne pas en bien ou mal. Elle n’est ni bien ni mal, contrairement à la faute. Il n’y a pas de moralisation, dans cette notion de faute, et je prendrai le temps de m’arrêter sur sujet la prochaine fois.

Donc, dans l’erreur, il n’y a pas de bien ou de mal. L’erreur est l’action de se tromper. Elle repose sur des causes. J’en ai noté six, mais on pourrait en mettre davantage ou un peu moins. Sans se disputer là-dessus, j’ai mis ces six éléments qui sont à l’origine de la raison pour laquelle on fait une erreur. Nous verrons, ensuite, comment aller plus loin de manière à faire que ces erreurs ne se reproduisent pas et nous servent.

Les raisons de nos erreurs

1. Manque de savoir faire > mauvaise application 

Premièrement, une des raisons pour lesquelles nous faisons des erreurs, c’est que l’on est dans un fonctionnement dans lequel on manque de savoir-faire. On a mal appliquer certaines choses apprises.

Je trouve intéressant d’aborder cette réalité parce que, cela ne signifie pas que l’on ne savait pas, mais que l’on a mal appliqué la chose. C’est une inadéquation entre ce que l’on savait et ce que l’on a fait ou voulu le faire. 

Quand on est conscient de cela, on a effectivement souvent le sentiment de l’erreur. Ce qui n’a rien à voir avec la faute (je vais me retenir pour ne pas l’aborder aujourd’hui même si je vois que ça me tente beaucoup). On verra ça la semaine prochaine.

« Je pensais avoir la connaissance pour, alors que, finalement je ne l’avais pas. J’étais donc une inadéquation avec le résultat attendu, résultat qui peut être parfois attendu par moi-même.» On est pas forcément dans une attente extérieure qui nous servirait de source d’attente ou d’exigences particulières. Cela est valable dans une prise de conscience par rapport à une attente personnelle, également. 

2. Ignorance partielle > méconnaissance 

L’erreur est aussi possible quand on est dans l’ignorance partielle. C’est-à-dire que l’on n’est pas conscient de ce que l’on ne sait pas. On pense savoir, donc, forcément, quand on est dans une situation dans laquelle on est convaincu de savoir, on peut être dans l’erreur. On aura des compétences en-deçà de celles qui sont nécessaires pour faire une chose ou pour être au bon endroit au bon moment, etc.

3. Manque d’attention

Une troisième source d’erreur, c’est le manque d’attention. Contrairement à tout à l’heure, on avait la compétence, la connaissance mais on a pas focaliser son attention de manière suffisamment efficace. Par conséquent, il a été difficile de rassembler ses ressources pour avoir le résultat attendu. Par conséquent, on est en-deçà ou à côté de ce que l’on voulait. 

Je choisis sciemment de ne pas dire systématiquement en de ça parce que ça donne la prochaine avoir des niveaux. Je pense qu’il est aussi intéressant de placer la situation comme étant à côté de celle qui était attendue. C’est un peu comme si, pour vous aider à l’imaginer, vous jouiez aux fléchettes. Vous avez toutes les connaissances et toutes les compétences pour toucher la cible qui est en face de vous, et peut-être même en plein milieu, mais par manque d’attention, vous avez mis la fléchette à côté ou un autre endroit que là où vous étiez capable de la mettre en faisant appel à toute la maîtrise des connaissances que vous aviez en votre possession. Ce n’est pas une faute mais une erreur.

4. Précipitation

Il est également possible que l’erreur soit causée par la précipitation. Si on garde l’image du jeu de fléchettes, on peut imaginer que vous avez mis la flèche ailleurs que là où vous étiez capable de la mettre parce que vous étiez pressé. Si vous vous étiez appliqué, que vous avez fait attention,  rassemblant vos ressourcer, vos compétences, dans le respect de ce dont vous aviez besoin, vous auriez atteint votre objectif sans aucune difficulté ou, au moins, sans faire d’erreur. Vous auriez été dans le juste.

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5. Méconnaissance de sa propre maîtrise

Une autre raison, est la méconnaissance de vos propres compétences et niveau de maîtrise. On est assez proche du troisième point que je vous ai donné, qui était l’ignorance partielle. Là, il ne s’agit pas d’une connaissance extérieure, mais d’une relation avec une connaissance de vous-même.

Vous êtes donc dans une réalité dans laquelle vous ne savez pas que vous ne maîtrisez pas même si vous avez cherché à acquérir les compétences. Vous êtes, par conséquent, convaincu de maîtriser le sujet alors que ce n’est pas le cas. C’est également valable pour la situation inverse dans laquelle vous pouvez avoir sous-estimé les ressources et les compétences que vous possédiez. En conséquence, vous ne les avez pas utilisées ! Cela peut être l’occasion d’erreurs répétées et d’erreurs à répétition qui peuvent avoir un impact sur l’image de vous vous-même, même si, cet impact sur vous-même est valable également pour les autres points. 

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6. Croyances abusives, manquant de fondements

Le dernier point que je soulignerai touche aux croyances. Nous pouvons avoir des croyances abusives face à des situations ou à des personnes qui nous conduiront à faire des erreurs. On va donc faire cette erreur sur la base d’une croyance qui manque de fondement.

C’est assez proche de ce que j’ai évoqué tout à l’heure, parce que la maîtrise de nos compétences est en relation avec certaines croyances, mais on pense que telle personne n’est pas capable de faire certaines choses et ainsi, on fait l’erreur de ne pas lui confier un travail. À l’inverse, on peut penser que cette personne est capable ou digne de notre confiance et on fera l’erreur de lui remettre telle chose. 

Autre exemple, on peut être convaincu de la valeur d’une chose et choisir d’investir en elle, que ce soit du temps, des finances, etc. et se rendre compte que cette chose-là n’a pas la valeur projetée.

Cette idée de croyances est donc aussi importante à considérer dans cet univers de l’erreur au regard des causes qui nous conduisent vers certaines erreurs, tout simplement.

Que peut-on faire de son erreur ?

Maintenant, que peut-on faire quand on est conscient d’avoir fait des erreurs (en prenant en compte les six causes que nous venons de mentionner) ?

Première première chose, qui n’est pas des moindres, c’est d’accepter ; Accepter d’avoir fait une erreur. Cette acceptation peut nous conduire à éviter de slalomer, de mentir à soi-même ou de mentir à un autre. Si vous voulez mentir à un autre, libre à vous, je ne vous oblige pas à être honnête avec les autres -; ) Mais avec vous-même, j’ai envie de vous y obliger. Vous ne devez pas vous mentir. 

Si vous vous mentez à vous-même, vous touchez à l’image de vous-même. À vrai dire, si vous mentez à d’autres, c’est pareil mais commencez à être honnête avec vous-même, vous arriverez à être plus honnête avec les autres. (Certains dirait que ça fonctionne dans l’autre sens par conséquent, commencez par le bout que vous voulez, mais soyez honnête avec vous-même). 

Accepter vos erreurs, dites-vous « je me suis trompé ». « Là, j’ai fait une erreur ». « Je pensais avoir les compétences pour ça, alors que je me suis surestimé », « Je pensais ne pas avoir les compétences pour cela alors que je les avais, j’aurais donc pu le faire, finalement, compte tenu de telles et telles paramètres… »

J’aime bien la citation de Saint-Augustin, même si je n’aime pas tout ce qu’on dit ce qu’il a écrit. Il disait : « Se tromper est humain. Persister dans son erreur est diabolique ». 

Se tromper, synonyme de faire une erreur, est humain. Sachez que vous pouvez-vous dire « j’accepte de me tromper, j’accepte mes erreurs et, par conséquent, je vais rentrer dans cette démarche de bienveillance… ». Il s’agit là d’une bienveillance envers vous-même, d’abord. 

La bienveillance en réponse à l’erreur

La bienveillance est bien une démarche dans laquelle on refuse se juger et, encore moins, de se condamner. « OK, j’ai fait une erreur, j’ai pensé que…, j’étais convaincu que…, j’ai cru que… et je me suis trompé ». 

On sera donc loin de l’époque où l’on prenait le martinet équipé de petits clous ou des bouts de métal avec lesquels on se flagellait le dos pour ressentir la souffrance « !, J’ai fait une erreur, hein !, J’ai fait une erreur, hein !, J’ai fait une erreur… ». Non, sortez de cela. 

Entrez dans une démarche de bienveillance en vous disant « j’ai fait une erreur » et interrogez-vous sur la raison de cette erreur 

Qu’est-ce qui fait que j’en suis arrivé là ?

« Qu’est-ce qui fait que j’en suis arrivé là ? » Se poser une telle question peut-être un moyen de commencer à vous centrer sur la cause. J’aime beaucoup me centrer sur la cause. Certains savent que je pratique aussi la naturopathie or, se centrer sur la cause est un des meilleurs moyens, si ce n’est le meilleur moyen, d’enrayer un phénomène, un processus en cours pour apporter une solution. Si vous vous centrez sur la cause, que vous avez identifié la raison pour laquelle vous avez fait votre erreur, qu’en puisant dans les six raisons évoquées tout à l’heure, vous pouvez déjà faire un grand pas en avant, en plus de faire preuve de la bienveillance envers vous-même.

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Je peux vous inviter également à faire preuve de bienveillance envers les autres. Finalement, que les gens qui vous entourent soient également les bénéficiaires de la bienveillance dont vous êtes capable quand ils font des erreurs. Ce sera un vrai terrain d’entraînement pour vous d’arriver à vous dire « j’accepte que tu aies fait une erreur car l’erreur est humaine. Tu as fait une erreur et je voudrais que tu saches que je préfère que tu reconnaisses tes erreurs en décidant d’avancer malgré tout plutôt que d’essayer de la contourner en faisant comme si tu n’avais pas fait d’erreur ».

Reconnaître l‘erreur est une force

Je me souviens d’une de mes filles qui avait fait quelque chose, je me souviens pas exactement de quoi il était question, mais je me souviens du fond. Je lui avait dit : « je préfère que tu me dises la vérité de l’erreur que tu as faite plutôt que de mentir parce que me mentir, pour moi, dépasse le domaine de erreur… ». On s’arrêtera à la semaine prochaine, là-dessus.

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L’erreur fait partie de l’humain. Vous la voyez, l’acceptez et faites preuve de bienveillance vis-à-vis de vous-même comme des gens qui, autour de vous, font des erreurs. Abandonnez l’idée de les juger ou d’attente de vous, comme d’eux, un parcours sans erreurs. 

Evitez le piège d’évaluer la gravité de l’erreur 

Je vais d’ailleurs ajouter un élément supplémentaire à cette idée d’abandonner l’idée de les juger, comme de vous juger vous-même, en abandonnant la jauge de la bienveillance en fonction de la gravité de l’erreur. 

Comme nous avons tendance à fonctionner en pensant « Je suis bienveillant envers moi-même pour ces erreurs-là parce que ce n’est pas grave. Mais si ça avait été grave, j’aurais été incapable de bienveillance ! ». C’est ce que la notion de gravité sous-tend, finalement !

Ne tombons pas dans le piège d’évaluer la gravité en nous disant que  quand ce n’est pas grave, on accepte l’erreur et quand c’est grave, on ne l’accepte pas. Enlever la notion de gravité permet de mettre toutes les erreurs sur le même plan sans perspective, sans relief, sans élément en relation avec la conséquence des erreurs. 

Prenez l’erreur en l’état en vous disant « j’ai identifier la cause de mon erreur, j’ai fait une erreur, je l’accepte. Elle est comme ça, je l’accepte en choisissant d’être bienveillant envers moi-même. Je suis de ces humains, capables d’erreurs ».

Changer de croyances sur vos erreurs

Ensuite, je vous propose de changer de croyances sur vos erreurs.

Cela implique de changer de croyances sur vos croyances ! Par conséquent cette manière de vous dire, « je crois cela et, en même temps, je vais rester ouvert pour continuer à interroger mes croyances». C’est comme si je leur donne une stabilité, une force et une assise avec une embase considérable tout en me donnant l’autorisation de garder des ouvertures.

Cela permettra, éventuellement, en cas d’erreur, de réinterroger mon action en relation avec ma croyance sans entrer dans une impression de me détruire ou de m’autodétruire si je remets en question ma croyance. Ça deviendra un principe de fonctionnement que de me dire « je crois ça, j’adopte cette réalité que je considère comme étant solide tout en étant en mesure, en même temps, de vivre l’inclusivité qui consiste à entrouvrir mes croyances pour continuer à les remettre à l’épreuve de l’expérience. 

Vivez votre croyance tout en la remettant à l’épreuve de l’expérience

Entendez-vous cette démarche mature ? Vivre ma croyance tout en la remettant à l’épreuve de l’expérience. Par conséquent, vous verrez que votre croyance, en de nombreux cas, se renforcera. Elle ira en se consolidant, en se fortifiant et, dans ses points faibles, elle aura besoin d’être pansée (avec un pansement), réparé, peut-être, partiellement détruite, avant d’être colmatée, pour parvenir à grandir. 

C’est comme ces troncs d’arbres qui ont besoin, par moment de certains soins pour bien grandir. Si ces troncs d’arbres sont abîmés ou fragilisés par une croyance, ils pourraient ne pas continuer à grandir de manière saine. Ils auront tendance à fabriquer de la résine au lieu de concentrer leur énergie sur une consolidation de leur existence et évidemment, sur la pérénité de leur espèce. 

l'humain est sujet à l'erreur parce qu'il est humain

Aller dans cette démarche consiste à se dire « j’ai des croyances qui sont solides, elles sont entrouvertes pour vivre les expériences capables de remettre une partie de ses croyances en question (on est pas sur une remise en cause, mais sur une remise en question) dont on va se servir pour aller raboter, compléter, et consolider les croyants existantes. Peut-être même, parfois, les remplacer par d’autres.

Ici, on touche donc à cette capacité à s’ouvrir pour changer de croyances sur ses compétences, ces savoirs-faire, savoirs-faire faire, ses aptitudes, son envergure, ses croyances etc. 

On va parvenir à remettre ces éléments en question pour les garder vivants. Si on ne les garde pas vivantes, c’est la sclérose. Une fois la sclérose installée, vient le temps de la nécrose. La sclérose constitue la phase où les choses sont figées et la nécrose, la phase de mort. 

Surtout, gardez vos croyances vivantes. Cela implique, comme je l’ai dit à l’instant, d’entreouvrir les portes pour qu’elles soient exposées à l’expérience.

Sans imperfection, ni toi, ni moi n’existerions

Je pense à une citation de Stephen Hawking Artiste, Astronome, Astrophysicien, Cosmologiste, écrivain, écrivain scientifique, Physicien, Scientifique (décédé en 2018) qui dit :

« La prochaine fois que quelqu’un se plaint que vous avez fait une erreur, dites-lui que c’est peut-être une bonne chose. Parce que sans imperfections, ni toi ni moi n’existerions.« 

Sans imperfection, ni toi, ni moi n’exist rions. C’est une autre manière de dire que l’erreur est signe de vie ! Seuls les personnes sclérosées et nécrosées ne font pas d’erreur. Je pourrais le dire autrement en disant que, seuls les morts ne font pas d’erreur ! Par conséquent, tant que vous êtes vivant, vous ferez des erreurs.

Suivez le processus bénéfique de l’erreur 

  1. Vous pouvez choisir d’apprendre de vos erreurs : l’erreur n’est pas une chose qui se subit en martyr, c’est un fait à confronter.
  2. Quand vous avez fait une erreur, interrogez vous pour savoir quelle est la cause de cette erreur. Ensuite, que pouvez-vous faire pour ne pas refaire cette erreur ? 
  3. Que pouvez-vous apprendre de votre action qui a été limitée, finie, réduite par ce que vous n’aviez pas telle ou telle compétence ou tel élément 
  4. Entrez dans cette dynamique dans laquelle vous vous direz : « je veux apprendre de mes erreurs ! » (Faites-le avec vos enfants, vous verrez à quel point c’est une source de croissance).

Vous verrez que vous grandirez à vitesse V. Vous pouvez vous développer, suite à vos erreurs. C’est vraiment une dynamique dans laquelle le regard ainsi posé sur l’erreur permet de se développer d’une manière considérable. 

C’est véritablement la réalité d’un entonnoir à l’envers qui débouchera sur un feu d’artifice dans lequel vous verrez votre potentiel, vos capacités, votre savoir-faire et votre manière de regarder les choses, et vos croyances de manière explosive. 

Gratitude suite à l’erreur

Vous serez reconnaissant : non pas une reconnaissance d’avoir fait des erreurs mais d’avoir su utiliser vos erreurs pour grandir, pour regarder la vie autrement. C’est très différent que de se réjouir d’avoir fait des erreurs. 

Vous avez choisi d’utiliser cette erreur pour grandir, pour apprendre, pour développer vos compétences, pour apprendre être plus patient, plus tolérant, à concentrer votre énergie etc. vous serez donc reconnaissant. Ce n’est pas grâce à elle que vous grandissez, mais parce que vous avez choisi de l’utiliser pour cela. 

Reconnaissez l’avantage tirée de l’expérience de l’erreur qui vous permet de prendre conscience de votre besoin de développer votre potentiel ou de prendre conscience du fait que vous aviez beaucoup plus de potentiel que vous ne l’imaginiez. Par conséquent, cette reconnaissance vous conduira vers plus de justesse vis à vis de vous-même.  

En résumé : 

  1. Accueillez vos erreurs à venir et les erreurs à venir de ceux qui seront autour de vous avec la même bienveillance. 
  2. Apprenez de vos erreurs
  3. Utiliser vos erreurs comme des cellules pour développer votre croissance personnelle.
  4. Vivez la gratitude dès que vous avez appris a utiliser une de vos erreurs

J’ai presque envie de vous souhaiter une belle journée avec les erreurs qui vous attendent.

Il ne me respecte moi aussi une bonne semaine

Bye-bye 

Photo de Anna Shvets provenant de Pexels

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