202# Mes 5 accélérateurs de bonheur

accélérateurs de bonheur

5 marches pour plus de bonheur plus vite

En vous présentant mes 5 accélérateurs de bonheur, mon objectif est que vous en tiriez le meilleur pour franchir plusieurs paliers rapidement.

Le 1er accélérateur : Mesurer ses progrès

Le fait de mesurer ses progrès nous invite (forcément) à nous retourner sur l’année écoulée. Ou du moins, sur des événements passés, proscrits, terminés, achevés. Cela veut dire que si on veut accroître son bonheur, il n’est nécessaire de regarder son passé, son histoire. Il est utopique d’espérer tout enfouir quelque part comme si notre passé n’avait pas existé. Et j’ajoute qu’il est également nécessaire de considérer la manière dont on a vécu les événements passés en plus de considérer ce qui s’est produit.

(1) Dans un premier temps on a besoin de regarder d’abord ce qui s’est passé. C’est priorité. Il est donc question de considérer ce sur quoi on n’a eu aucune prise. C’est logique dans la mesure où on ne peut pas diriger les événements et faire qu’ils se déroulent d’une manière précise

(2) Ensuite, on va centrer son attention sur la manière dont on a vécu les choses, tant sur le plan émotionnel, que des ressentis physiques (dans son corps). On va commencer à brosser les expériences pour repérer ce que l’on a pu tirer de ces derniers. 

(3) Et, pour être plus complet, on peut également considérer les éléments non enrichissants. En tout cas, c’est intéressant de savoir si on a progressé et si c’est le cas, dans quelle direction, dans quelle mesure, et dans quelle proportion ? 

(4) J’ajoute l’intérêt de prendre conscience qu’on peut ne pas être le même que celui que l’on était dans le passé.

Comme je l’ai posté dans une courte vidéo sur YouTube, si quelqu’un vous dit « tu n’as pas changé», il y a un problème ! Vous devez changer. Changer n’est pas une option. Vous devez progresser. Vous ne pouvez pas faire les mêmes choses qu’avant, comme avant sans qu’il y ait des progrès. Et c’est valable même pour des choses très simples.

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Photo by KoolShooters on Pexels.com

Quand établir ses critères de progrès ?

Bien entendu, quand j’évoque la notion de progrès, il va de soi que j’invite à une lecture rationnelle, non subjective. Par conséquent, cela implique une capacité à objectiver des critères d’évaluation pour ne pas envisager une évaluation à un moment où l’on n’est pas en forme. Le faire peut avoir pour conséquence de participer à abîmer sa propre évaluation. D’autant que mesurer ses progrès est un moyen d’accélérer son bonheur. C’est un outil qui permet de prendre conscience de chemins parcourus

On va prendre conscience de ce que l’on va évoluer à l’instant T avec des éléments rationnels, je le répète. Pour ce faire, le mieux est de construire la grille dévaluation au moment de la production initiale.

Le système de mesure de progrès Mikitani

Je voudrais enrichir ce premier accélérateur de bonheur en partageant l’expérience de Hiroshi Mikitani, fondeur du site de e-commerce Rakuten, en 1997. Il a d’ailleurs créé la courbe Mikitani, l’un de ses systèmes de mesure de progrès. 

« C’est un concept ancré dans l’idée que la qualité progresse ou régresse par incréments de 0,5 %. Il s’applique généralement aux produits, mais peut également être un outil de mesure du développement personnel. Quand vous finissez une de vos tâches, ne vous arrêtez pas là. Dédiez-y un tout petit peu plus de temps. Vous ne pourrez certainement pas améliorer grand-chose, mais peut-être un petit incrément de 0,5 %. Ces petites finitions font la différence à long terme et seront remarquées avec le temps. » 

(Source : JDN – Journal du Net). 

Le progrès ne demande pas une énorme modification ou un changement considérable

Je trouve particulièrement intéressant de se souvenir que le progrès ne demande pas une énorme modification ou un changement considérable. Monsieur Mikitani parle de 0,5 %. Alors, il est vrai qu’en développement personnel, il est difficile de mesurer 0,5 %. Mais vous comprenez que, quand il dit de ne pas s’arrêter là où l’on s’arrêterait naturellement pour faire un tout petit peu de plus pour apporter une toute petite différence, on entre dans le progrès

Prendre conscience qu’on va progresser, même si c’est 0,1 %, au lieu de 0,5 % parce que je suis allé un tout petit peu plus loin que là où je serai allé naturellement, j’ai effectivement progressé.

Si vous courez le matin, que vous faites de la musculation, que vous pratiquez la marche ou que sais-je ou que vous faites une dizaine de pompes d’habitude, pour vous ancrer dans le progrès, faites donc 10 pompes et un tout petit peu de la pompe suivante. N’en faites pas forcément 11. Initier le geste suivant manifeste que vous avez déjà progressé. Cette prise de conscience me paraît formidable. Elle sème du progrès en permanence, participant à améliorer l’estime de soi comme le regard sur soi.

Exergue : On ne cherche pas à mesurer une réussite. Il s’agit de centrer son attention sur le progrès. Même s’il n’y a pas de réussite, il peut y avoir progrès, même si ce dernier est de 0,5 %.

Le 2e accélérateur : Passer à l’action

Il est vrai qu’en début d’année, on peut facilement avoir envie de se dire « je prendrai de bonnes résolutions et ferai ceci… ». Je ne m’arrêterai pas sur la question des bonnes résolutions. 

Par contre, je vous invite à écouter le podcast de l’année dernière dans lequel je m’arrête largement sur ce sujet. Je n’avais pas envie de m’arrêter sur ce sujet cette année puisque celui de l’année dernière « Je n’ai pas tenu mes bonnes résolutions« . Il a été particulièrement enrichissant avec un certain nombre de retours positifs.

Par contre, en généralement, ce n’est pas dans la capacité à prendre de nouvelles résolutions que nous trouvons en difficulté, c’est dans le passage à l’action. La bonne résolution est prise dans un siège, les bras croisés. On a pris le temps de l’écrire, parfois sur une feuille de papier libre ou sur son cahier de vie (chose que j’espère) et on se lance avec « cette année, je prends la bonne résolution de… ». 

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La partie la plus difficile, a priori, et surtout quand on a tendance à procrastiner, c’est le passage à l’action. C’est pourtant là que se trouve un accélérateur de bonheur.

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Comment passer à l’action ?

Pour passer à l’action, j’aime demander aux personnes que j’accompagne de sortir de l’idée du raisonnement, de l’analyse, et même parfois, du ressenti, de l’envie et du désir. On n’interroge aucune de ces dimensions-là quand il est question de passer à l’action. 

On prend le temps de choisir ce que l’on veut faire. Et dès que le réveil sonne le matin, on se lève, on enfile ses baskets, on s’active dans lesseven minutes workout, on enchaîne les exercices de musculation, etc.

Il est également possible de faire du sport dans son lit. À ce sujet, j’écris un article dans lequel j’intègre la difficulté de ceux qui n’ont pas envie de sortir du lit le matin. Si vous êtes frileux, que vous n’avez pas envie de sortir de chez vous, que vous êtes en pleine ville, et que vous craignez la pollution, que vous trouvez qu’il y a trop de bruit à l’extérieur, fait du sport de votre lit. C’est tout à fait possible. Dès que le réveil sonne, ne réfléchissez pas. Passez à l’action. 

Quand la réflexion pose problème

Quand on réfléchit, on installe un tampon. On crée un laps de temps en commençant à s’interroger pour savoir si on y va ou pas. On n’a peut-être pas déterminé les facteurs préalables pour se lancer dans l’action. Or, il est de très loin préférable de ne pas avoir à réfléchir pour pratiquer son exercice physique, entre autres. Il est plus aidant de se dire, « le réveil sonne, j’y vais ». Ainsi, vous n’avez pas à interroger vos émotions, vos envies, votre humeur, la température extérieure, le climat, etc. Tout est en place pour passer à l’action. Alors, passez à l’action, sans réfléchir.

La capacité à passer à l’action sans réfléchir est considérablement aidante. Certes, on peut y réfléchir une fois, au moment de la mise en place de l’action. Mais veillons à ce que ce soit une fois pour toutes. Ensuite, on s’exécute, on passe à l’action, point barre. 

Comment sortir du cercle vicieux de l’inhibition et de l’inaction pour entrer dans celui, vertueux, de l’action et de la réussite ? En avançant progressivement : « Je décide de faire quelque chose de facile et dont j’ai très envie, je pense que je peux y arriver, j’essaye, je réussis, je me sens efficace; du coup, j’ai envie de recommencer », explique le Psychiatre Frédéric Fanget (Source : Passer à l’action, Psychologies Magazine). 

Le 3e accélérateur : Choisir sans pression

Ce troisième accélérateur se fonde sur le choix. J’ai fait quelques recherches sur Internet en tapant le verbe choisir. Je m’attendais à découvrir des choses très intéressantes et, notamment, sur Wikipédia. Ce site est souvent foisonnant d’informations. Or, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’il n’y avait rien. Rien de rien, c’est vide, vierge, blanc. Le travail reste à faire. 

Je trouve assez symptomatique ou symboliquement intéressant de voir que dans cette encyclopédie la plus consultée du monde, il n’y a rien au verbe choisir. Est-ce à dire que nous avons une grande difficulté avec ce verbe-là ? Pourquoi ?

Je trouve intéressant de constater que, quand on cherche « comment choisir », on tombe sur « Que choisir », et sur d’autres options qui nous proposent des solutions. Est-ce une façon de nous dire que nous ne savons pas comment choisir ? Que l’on ne tient pas à nous aider sur ce plan ? Du coup, on nous propose que ou quoi choisir au lieu de répondre à la quête d’un comment choisir

Préférez comment choisir à que choisir

Peut-être même, me disais-je en préparant ce Podcasts, qu’il eut été bien mieux que le magazine ne s’intitule pas « Que choisir », mais « Comment choisir ? » ! Ainsi, il travaillerait sur une méthodologie, nous proposant des outils pour exercer notre libre arbitre et prendre nos propres décisions. 

D’ailleurs, comme vous l’avez vécu, peut-être pendant la fin de l’année, autour de Noël, ou du jour de l’an, lors des discussions autour de table et de jeux, vous avez évoqué des pistes, peut-être des réflexions ou des orientations. Peut-être avez-vous interrogé quelques personnes pour chercher des solutions à des situations compliquées que vous rencontriez. Du coup, vous avez entendu certaines personnes vous donner des conseils en vous disant « tu devrais faire ça » ou « tu ne devrais pas faire ça ».

 

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Finalement, c’est une manière de dire « ce que je veux que tu fasses, c’est çacar tu ne sais pas choisir, contrairement à moi ». On n’a pas particulièrement ou profondément envie que les gens sachent comment choisir. On a plutôt envie qu’ils choisissent ce que l’on voudrait qu’il fasse. 

Et quand on est parent, on s’entend dans cette prise de conscience avec une tendance naturelle à vouloir que nos enfants fassent ce que l’on voudrait qu’ils fassent. Nous ne sommes pas intéressés par ce qu’ils voudraient faire eux-mêmes. Nous estimons qu’ils ne sont pas en mesure de choisir ce qui leur est bénéfique

Bien souvent, j’entends que ça peut être tout à fait pertinent, mais ça ne l’est pas autant qu’ on le pense. Déjà, dès son jeune âge, aux alentours de 4 ou 5 ans, un enfant peut choisir si on lui donne les outils pour le faire. La démarche ne consiste donc plus à lui demander de choisir entre A et B, mais de chercher à l’interpeller sur SA façon de voir les choses. « Qu’est-ce qui pourrait t’aider à faire ton choix ? » ou « As-tu besoin d’aide ? ». 

Un phénomène général sur les forums

Moi qui me promène sur des forums pour répondre bénévolement à des préoccupations que rencontrent des personnes en des difficultés personnelle, sociale, ou autres, combien de fois ai-je vu des écrits « rencontrez-vous le même problème que moi ? Si oui, comment l’avez-vous résolu ? ». 

Notez que je ne parle pas d’un problème relatif à un lave-linge ou à un ordinateur. Il est question de situations conjugales, personnelles, existentielles. Par exemple « je me sens mal au travail avec mon patron. Il me fait des remarques désobligeantes. Avez-vous déjà vécu quelque chose de ce genre ? Qu’avez-vous fait dans cette situation ? ». 

Vous percevez que la démarche ne consiste pas à chercher à savoir comment les gens ont vécu les choses en repérant des principes de fonctionnement. La quête porte sur la recette

Un accélérateur de bonheur nous fait prendre une distance certaine avec les recettes, les réponses à dupliquer. Parfois on me dit « Pascal, sortir de cette difficulté ? » en attendant que je donne une recette. Et sans aucune surprise, je m’y refuse systématiquement. Je ne suis pas un distributeur de recettes. 

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Mon rôle consiste à donner des clés pour que vous soyez en mesure d’employer les outils présents dans votre caisse à outils personnelle. Ainsi vous saurez les utiliser à bon escient. L’intention n’est jamais de vous dire de faire comme moi. Je suis moi et vous êtes vous. Nous ne sommes pas les mêmes. Et même quand on se ressemble beaucoup, ça ne fonctionne pas non plus. `

Si on prend l’exemple d’une fraternité ou d’une sororité gémellaire, ce qui est proposé à l’une ou à l’un peut ne pas correspondre à l’autre. La singularité valorise l’importance de vivre des choix sans pression aucune. 

Que nos choix soient faits sans impression. Veillons à éviter de dupliquer les recettes que quelqu’un a « imprimées » pour les mettre en œuvre dans notre vie. Je vous encourage vivement à opter pour des choix libres sachant qu’ils sont des accélérateurs de bonheur.

Ne trouvez-vous pas que ce serait le comble de faire des choix contraints ? Vous percevez qu’il y a une sorte d’antinomie entre ces deux réalités. 

Peut-être pensez-vous « je ne sais pas faire de bons choix ». Si c’est le cas, c’est votre jour de chance puisque j’ai écrit plusieurs articles/Podcasts qui s’intitulent respectivement : 

  1. Prendre les bonnes décisions
  2. Faites des choix bons et mauvais
  3. Faire des choix «pour» plutôt que «contre» 

Le 4e accélérateur : Écrire et se relire.

Notre 4e accélérateur de bonheur consiste à écrire. La question n’est pas d’écrire pour écrire, mais de se relire, après coup, à distance ou à chaud.

Pour ne pas répéter, aller lire ou écouter les articles et Podcasts qui s’intitulent « rendez-vous avec vous-même », et celui que j’ai promu intitulé « les bienfaits de l’écriture intime ». Ce dernier est disponible en streaming sur le site de France Inter. Les invités de cette émission sont Nayla Chidiac, docteur en psychopathologie clinique à la « PHD clinical psychology ». Le spécialiste du trauma et de l’écriture thérapeutique, auteur de « Les bienfaits de l’écriture, les bienfaits des mots – Un atelier d’écriture » (Odile Jacob, février 2022). Flavia Mazelin Salvi, journaliste à Psychologies Magazine, spécialisée en psychologie et développement personnel analytique. Elle est auteure de « Ma vie en mots« , illustré par Eloïse Héritie (Courrier Du Livre, février 2022). Christilla Pellé-Douel, journaliste chez Psychologies Magazine. Auteure de « Ces livres qui nous font du bien », Marabout, 2017.

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Ici,  je vous mentionnerai les avantages présentés par le blog qui s’intitule « authentico.fr », entretenu par un confrère en développement personnel. Voici donc les 7 avantages à l’écriture qu’il présente à l’écriture : 

1. L’écriture permet de lutter contre le stress et la dépression

2. L’écriture facilite l’apprentissage

3. L’écriture a des vertus curatives

4. L’écriture améliore le sommeil

5. Écrire régulièrement permet de développer sa créativité

6. Écrire facilite la réalisation de ses objectifs

7. L’exercice de l’écriture améliore les qualités rédactionnelles

(Source : authentico.fr)

Le 5e accélérateur : Se faire confiance

J’arrive au 5e accélérateur de bonheur qui n’est pas des moindres. Attention, se faire confiance, inclut l’acceptation de ses failles, de ses erreurs, de ses fautes, de ces incohérences, de ses incapacités, de ses inaptitudes, etc.. On pourrait continuer la liste longtemps.

Se faire confiance est nécessaire, c’est vital, en réalité. On dit souvent que l’amour est le moteur le plus important et une quête première. Toutefois, l’amour sans confiance (même en soi) n’existe pas. L’absence de confiance est une forme de rejet d’amour. On a véritablement besoin de se faire confiance en plus de faire confiance. Ci-dessous, voici, 6 Podcasts/articles qui peuvent vous aider à travailler sur ce sujet de la confiance. 

  1. (Re) Faire confiance
  2. Pourquoi booster sa confiance en soi
  3. Je n’ai pas tenu mes bonnes résolutions
  4. Devenez un influenceur
  5. L’intuition
  6. Et si c’était possible, Odile Soulas témoigne

Pour vous aider plus encore, j’ai choisi un article qui se trouve sur le blog « les éclaireuses » qui s’intitule «10 conseils pour se faire confiance et ne plus être influencé par les autres ». Vous comprenez que cet article vise la confiance que l’on va se faire à soi. Un moyen d’exercer sa propre liberté sans pression 😉. Notez que cela se réfère au 3e accélérateur de bonheur mentionné plus haut.

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Je vous propose également un article de Doctissimo intitulé « 10 trucs pour reprendre confiance en soi ». Vous y trouverez des actions pratiques pour vous remettre le pied à l’étrier de la confiance, dont certaines viennent croiser des astuces que je vous présente dans les 6 podcasts mentionnés ci-dessus.

Voici deux autres liens pour aller plus loin : 

  1. Psychologies magazine : Se faire confiance
  2. Blog Du bonheur et des livres : Comment se faire confiance

De la peine à vous faire confiance 

Vous avez de la peine à vous faire confiance ? Si c’est le cas, je suis là pour vous écouter. Rendez-vous sur le haut de la page de ce blog est cliquer sur « Go, je passe à l’action » et profitez des 30 minutes offertes pour travailler sur votre confiance. Vous pourrez ainsi commencer à comprendre certains mécanismes que vous pourrez déclencher pour déverrouiller certains cadenas ou certaines chaînes qui vous empêchent de vous faire confiance. Vous ne pouvez pas décoller véritablement en termes de bonheur si cette part de confiance en vous, comme en les autres, se trouve encore trop verrouillée

Entrez dans un tout avec les 5 accélérateurs de bonheur

Si la confiance fait partie de mes 5 accélérateurs de bonheur, ce n’est pas par hasard. Ça fait partie d’un tout. Il ne s’agit pas d’un élément isolé qui pourrait permettre de se dire « si je travaille sur les quatre accélérateurs précédents en excluant la confiance en soi, ça ira quand même ». Non, ça n’ira pas ! 

Vous n’arriverez pas à faire des choix sans pression, si vous n’avez pas confiance en vous. Vous aurez tendance à feuilleter «Que choisir» pour appliquer ce que les autres ont dit de faire, convaincu·e que vous pouvez leur faire confiance à eux ! 

Et puis, quand vous écrirez dans votre cahier de vie et que vous serez en phase de relecture, vous vous demanderez, vous douterez du fondement de ce que vous avez couché sur le papier. Est-ce que vous pouvez vous faire confiance au point de considérer que ce que vous avez écrit est pertinent ?

Pour le passage à l’action, c’est à peu près pareil. Vous penserez « j’ai fait ces choix, mais est-ce que j’ai bien fait de faire comme ça ? N’aurait-il pas été mieux que je fasse autrement ? ». 

Le manque de confiance en soi est véritablement un handicap en termes de développement et d’assise du bonheur. Je ne pouvais pas l’exclure de mes 5 accélérateurs de bonheur. Je veux que vous partiez de là avec des outils qui vous permettent de débuter cette année en accélérant votre expérience du bonheur.

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C’est parti ! 

Appuyez sur mes 5 accélérateurs de bonheur en même temps. Symbolisez une pédale qui soit couplée en 5 tranches pour appuyer sur toutes ces tranches en même temps. Ne vous dites pas, « je travaillerai d’abord sur un des 5 accélérateurs puis sur les suivants après ». Non, travaillez sur l’ensemble. Peut-être avez-vous l’impression que c’est beaucoup trop ! Pourtant, je vous affirme que ce n’est pas le cas. Vous avez besoin de faire votre sauce à vous en travaillant sur mes 5 accélérateurs de bonheur simultanément.

Bien entendu, je réponds à toutes vos questions et réactions dans la journée de leur post. Rendez-vous dans les commentaires ci-dessous, choisissez un pseudo et lancez-vous. 

À très vite

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine.

Bye-bye.

19 commentaires

  1. Merci pour ce podcast, cet article et cette bonne humeur !!! Et merci pour ces pistes pour accélérer le bonheur ! J’ai tendance à mesurer mes progrès, à pratiquer la gratitude et à passer à l’action pour ne pas me figer, mais je vais commencer à écrire aussi !

    1. Mélanie, je te remercie pour ton commentaire.

      Waou ! Je me réjouis de lire que tu vas te mettre à écrire. C’est une excellente nouvelle et je te félicite pour cette décision. Tu entreras dans le cercle restreint des personnes qui se mettent à écrire et en tirent des effets hautement bénéfiques.

      Je ne sais pas si tu as écouté le podcast proposé en lien qui a été publié sur France Inter. Il est particulièrement riche de ces invités, dont certains experts, sur cette pratique de l’écriture intime.

      Tu y trouveras des motivations supplémentaires est aides pour te lancer (fréquence, durée, moyens, etc) en plus de ce que j’ai posté sur « Rendez-vous avec vous-même).

      Je te souhaite de très beaux moments de rencontre avec toi, ton ego, tes émotions et autres.

  2. Je trouve cet article très intéressant, merci ! J’aime particulièrement l’idée de mesurer ses progrès à l’aide d’une grille d’évaluation construite en début de projet. Cela permet de garder le cap vers sa destination idéale 🙂

    1. Eh oui, c’est un moyen de limiter le regard émotionnel.
      Je t’encourage à essayer. Tu y verras une grande différence

  3. Super , ton article.

    Et bien, le bonheur on peut le trouver quand on ouvre les yeux à travers de petites choses dans la journée. J’ai un rituel et je prends tous les jours du temps pour écrire ma journée et même s’il ne s’est pas passé quelque chose d’important, en cherchant dans ma mémoire j’arrive à trouver quelque chose qui m’a marqué, comme un sourire, un rayon de soleil qui a réussi à apparaitre malgré la grisaille,…. Concernant le progrès, je regarde ce que j’ai accompli ces derniers mois et je me dis que je suis fière de moi , malgré mon perfectionnisme (ce n’est pas parfait, mais je l’ai fais !).

    1. Fabienne, je te remercie pour ce commentaire qui partage ton expérience et qui peut servir d’exemple.
      Tu mentionnes le perfectionnisme qui peut venir gâcher la fête de la satisfaction. Toutefois, tu peux en faire un allié. Quand il s’invite, accueille ce qu’il veut te dire de toi. Entends-le, écris-le. Ensuite, ajoute une touche de plus, les fameux 0,5% de Mikitani. Et enfin, accepte de t’arrêter là, avec ce petit pas de plus. C’est un moyen de progresser en t’écoutant tout en ne te laissant pas pourrir par le perfectionnisme.
      S’accepter reste essentiel.

  4. Nous aimons savoir ce qui a marché pour les autres, leur recette pour se sortir d’une situation, pour se rassurer que cette situation est résolvable. Nous aimons entendre leur histoire et leur réussite pour comprendre que c’est possible à notre tour.
    Même si nous ne pouvons pas appliquer cette solution stricto sensu à notre vie, à notre situation, cela nous inspire et nous permet de nous pousser à trouver NOTRE recette avec NOS ingrédients selon notre situation propre.
    Merci pour cette prise de conscience des 5 accélérateurs pour atteindre le bonheur plus vite 🙂 .


  5. Je trouve que le passage à l’action est vraiment le plus difficile. On a souvent tendance à trouver milles raisons, et pour la plupart bien réelles, de ne pas y aller.
    Merci pour cet artcile qui nous donne des clés pour accélérer notre bonheur.

    1. Le passage à l’action peut paraître le plus difficile alors que c’est faux.

      Supposons que tu prennes la décision de lire 20 minutes tous les matins. Est-ce difficile ? Non. Prendre un livre, s’asseoir et lire est une action à la portée de la plupart, ne demandant aucune faculté spécifique si ce n’est de savoir lire et de comprendre ce qu’on lit. Ce n’est pas le passage à l’action qui pourrait s’avérer difficile, mais la projection faite sur l’action et ses implications. Viendra alors la réflexion généralement inconsciente de l’envie, de l’avantage par rapport à une autre activité ou inactivité, de « bonnes » de faire autre chose que de lire, etc.

      Lire n’est pas plus dur que de se brosser les dents ou de faire son lit.

      Pour y parvenir, il est nécessaire de ne plus se laisser balader par la petite voix qui nous a maintenu dans un confort SANS cette action. Avancer en lui disant « ok, je sais que tu veux me maintenir dans ce que je fais d’habitude, mais rassure-toi, dans quelques semaines, ce sera une habitude ancrée qui ne te dérangera pas. Tu n’auras même plus envie de chercher à me donner envie de faire autre chose à la place.

      Comme je l’ai posté sur FB le 11 janvier, « Réfléchissez une bonne fois en vous fondant sur vos valeurs. Ensuite, passez à l’action, sans convoquer vos décisions chaque jour. Vos actes refléteront vos valeurs profondes ».

      Un beau moyen de se faciliter le quotidien, n’est-ce pas ?

  6. Merci pour cet article riche d’idées et de passages à l’action. Côté famille, nous posons sur papier nos objectifs et cela permet de rester focus et de ne pas s’éparpiller et d’avoir plus d’énergie pour passer à l’action!

    1. Yes ! Je suis ravi que ça aide ta famille.
      Continuez



  7. Merci pour ce partage et ce podcast. Ma clé du bonheur c’est la course à pied personnellement. Quand j’ai terminé mon run matinal, je me sens super bien et booster pour attaquer la journée 🙂

    1. Alors, conscient de ça, tu peux l’utiliser pour développer ton bonheur à volonté.
      Go !

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