186# Avoir plus de volonté

avoir plus de volonté

4 étapes accessibles pour y parvenir

Je sais que certains d’entre vous voient leur volonté en berne. Du coup, vous aspirez à avoir plus de volonté. Quelle qu’en soit la raison, si vous ressentez le besoin d’avoir plus de volonté, c’est le moment de vous recentrer.

Les deux pans de la volonté

D’abord, j’espère que vous avez passé un bon été et que votre rentrée se déroule à peu près comme vous le voulez. J’imagine que certains de ces aspects ne ressemblent pas à ce que vous voudriez, d’ailleurs. Justement, cela peut venir impacter votre volonté parce que les événements ne se déroulent pas comme vous auriez voulu qu’il se déroulent. 

D’ailleurs, en parlant de volonté, on va dire qu’il y a deux grands pans qui peuvent toucher la volonté :

  • Les actions déterminées par des phénomènes extérieurs. On ne peut pas dire que ces derniers fassent partie de la volonté. La volonté n’est pas du tout sollicitée dans ces cas de figure.
  • Les actions déterminées par des choix personnels. Ceux-ci sont aisément attachés à la notion de volonté.
la volonté pratiquée

La volonté serait une faculté humaine

La volonté est bien une faculté, un pouvoir ou une capacité à se déterminer soi-même. Et ce disant, je voudrais me rapprocher de la définition du Centre National de Recherche Textuelles et Lexicales (CNRTL) qui, dans la rubrique psychologie affirme : « la volonté est le pouvoir qu’a l’homme d’accomplir des mouvements et des actes en les contrôlant, c’est-à-dire en fonction d’une représentation consciente et d’une intention préalable de les accomplir ». En ce sens, on entre réellement dans la faculté de se projeter soi-même

Tout à l’heure, quand je donnerai une définition plus structurée de la volonté, vous aurez d’ailleurs les moyens de percevoir que l’on parle bien d’une approche construite.

Comprendre la volonté par l’exemple

Je prendrai deux exemples afin de mettre en lumière les deux dimensions que je viens de mentionner, à savoir l’action déterminée par un phénomène extérieur et l’action déterminée par la volonté.

Exemple n°1l’action est déterminée par un phénomène extérieur ou la volonté n’est pas du tout sollicitée : Une gouttière se casse au moment où je passe.

Exemple n°2 l’action est déterminée par des choix personnels, avec une volonté sollicitée : je vais prendre une douche.

J’ai choisi deux exemples très concrets. Ils nous montrent à quel point notre volonté est sollicitée. Vous qui lisez cet article, vous avez fait acte de volonté. Le présent article n’est pas tombé par hasard sur votre tablette ou sur votre smartphone (chose que j’aurais appréciée pour que vous ne manquiez aucun rendez-vous publié semaine après semaine :-). De même, votre ordinateur ne s’est pas ouvert tout seul, affichant la page d’accueil de ce sujet sur Heureux au Présent. Il y a forcément eu une action volontaire, choisie, déterminée. 

Le fait de votre présence dit que vous êtes conscient·e de savoir utiliser votre volonté. En effet, vous ne le faites pas tout le temps comme vous le voudriez avec les résultats escomptés, mais vous savez le faire.

La distinction nécessaire

Il y a, malgré tout, une distinction à faire entre la faculté de la volonté. Elle est une réalité donnée à tout humain. Nous possédons donc tous ce pouvoir, cette capacité à se déterminer, comme je l’évoquais tout à l’heure. Suivant le commentaire du dictionnaire de philosophie en ligne dicophilo, il me semble utile de faire une distinction entre : 

  • Faculté de volonté
  • Pouvoir de choix

La frontière n’est pas toujours nette entre ces deux univers. «En quoi la volonté n’est-elle pas un modalité d’usage de notre liberté (pouvoir de choix) ?» Interroge-t-il. 

Pour ne pas trop se perdre et parvenir à borner le sujet, en plus de chercher à l’aborder sous un angle pratique, comme j’aime le faire sur Heureux au Présent, je dépasserai cette distinction en la clarifiant de la manière suivante : La volonté serait une faculté d’usage de la liberté, qu’il s’agisse d’initiatives qui surviennent de soi-même ou d’un consentement. Quand il est question de consentement, c’est que l’événement se produit et qu’on lui donne son accord, on assentiment.

Le regard du philosophe sur la volonté

En philosophie, on dit que la volonté est un souhait : 

  • «durable, 
  • rationnel 
  • et dont l’individu a conscience» (cf. Dicophilo)

Le facteur réfléchi écartant le désir qui lui est irrationnel. 

Le regard psychologique

En psychologie, on divise la volonté en quatre moments :

  1. La conception
  2. La délibération
  3. La décision
  4. La réalisation ou passage à l’action

On est donc bien dans une situation dans laquelle la pleine implication de la personne est réelle, visible. Il s’agit donc d’une implication réfléchie et consciente.

Baisse de volonté

Quand la volonté s’écroule

Seulement, il arrive parfois que la volonté s’écroule. C’est la raison pour laquelle ce podcast existe aujourd’hui. J’ai pris le temps d’introduire et de redéfinir ce qu’est la volonté de manière à être certain que nous parlons bien de la même chose. Or, quand la volonté s’écroule, que les aspirations de conception, de délibération, de décision ou de passage à l’action s’émoussent, on est bien dans une perte d’envie. Attention, on n’est pas dans le désir puisque, comme de l’avons dit, ce dernier est irrationnel. 

Identifier ce qui se passe

Justement, je pourrais vous poser la question : 

Est-ce que votre perte d’envie s’est installée durablement avec, en plus, une manifestation dans les domaines dans lesquels vous aviez une envie très forte ?

Si votre réponse à cette question est affirmative : il y a de grandes chances que vous viviez de la déprime. Si en plus votre baisse d’envie s’est installée dans le temps de manière considérable, vous êtes peut-être en dépression.

Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :   102# Savez-vous vraiment ce qu'est une qualité et un défaut

À l’inverse, si vous répondez par la négative à cette question : vous êtes peut-être dans un temps de déprime. D’ailleurs, la première chose que j’ai dis à quelqu’un qui déprime est d’accepter d’aller mal. Accepter de déprimer en intégrant que vous ne pouvez pas être en pleine forme en permanence.

Le grand bluff médiatique

Je sais qu’on nous vend le mythe du devoir d’avoir la pêche (dans les publicités, les magazines et les supports médiatiques), mais vous pouvez aller mal. Vous avez le droit de ne pas avoir… :

  • le moral,   
  • l’envie,   
  • la banane,   
  • la niaque,   
  • la patate ou le mordant 
  • ou toute autre expression qui vous viendrait à l’esprit. Vous avez le droit ! 

Alors, acceptez de passer par des moments de déprime. Vous pouvez accepter également de vivre une dépression. Même si j’emploie le même terme que celui qui désigne une maladie, ici, il ne mentionne pas la pathologie. J’emploie le terme dépression après un temps de pression. 

Quand vous êtes dans le haut, avec une énergie élevée, avec une envie de faire plein de choses et d’être dynamique, vous êtes en (ou sous) pression. Or, l’inverse de la pression est la dépression, la phase dans laquelle vous êtes dans le bas, vous avez du mal à avancer avec l’envie de faire moins de choses.

La déprime connaît des cycles

Peut-être que cela peut justement être utile, dans le cas où il s’agit d’une baisse d’envie occasionnelle non durable qui se manifeste de temps en temps depuis quelques semaines ou quelques mois. Elle peut aussi se manifester plusieurs fois par an. Dans ce cas, prenez le temps de vous interroger pour savoir ce que veulent dire ces moments de baisse de volonté

Si vous vous observez bien, il est même possible de percevoir un cycle. C’est-à-dire que cette baisse de volonté que j’ai qualifiée d’occasionnelle pourrait revenir de manière récurrente. Il peut s’agir d’une fréquence mensuelle, bimensuelle, hebdomadaire, trimestrielle ou annuelle. Que vous pouvez repérer et qui pourrait vous permettre de définir des cycles ?

Vous percevez que l’on pose ici dans un regard non-jugeant. On se place dans l’observation pour commencer à prendre la mesure de ce qui se passe en soi. Ainsi, vous pouvez vous observer et dire « je constate que c’est ce qui se passe en moi. J’ai un cycle qui se base sur un trimestre ou à chaque changement de saison». 

Je vous donne une petite astuce : parfois, le cycle se manifeste de manière prononcée quand arrive l’automne. Et cette baisse de pression, ou cette dépression, peut vouloir dire des choses sur votre métabolisme, sur vos carences en micronutriments, par exemple. Et même sans aller dans cette direction-là, vous pouvez prendre conscience que votre baisse de pression se manifeste à une fréquence donnée, à tels moments, après tels événements, dans tels lieux, en présence ou à l’absence de telles personnes, etc. La question n’est pas d’avoir plus de volonté.

affalé dans le canapé

Repérer des signaux annonciateurs d’une baisse de volonté

Cela vous permet de mesurer si vous percevez une baisse de : 

  • projection, 
  • d’envie de prendre la décision 
  • de passer à l’action. 

C’est peut-être dans plusieurs de ces domaines en même temps. 

Peut-être que, naturellement, vous vous projetez facilement en laissant pédaler le petit vélo de la créativité dans votre tête, mais que vous n’avez pas envie de prendre de décisions. On peut constater le phénomène inverse avec l’absence d’une envie de se projeter tout en ayant une envie de prendre des décisions. Mais comme vous n’arrivez pas à vous projeter puisque les idées sont en carence, vous avez l’impression d’être en panne de carburant. Il peut s’agir d’un phénomène en chaîne, en réalité et qui n’a rien à voir avec un besoin d’avoir plus de volonté.

La baisse de volonté exprime généralement un besoin non assouvi 

Quel que soit le domaine touché, qu’il s’agisse de la projection, de la délibération, la prise de décision ou du passage à l’action, accueillez que vous êtes en train de manifester un besoin qui semble ne pas être pleinement assouvi

Pour illustrer ce que je suis vous explique, je me permets de le faire en message « je «. Peut-être est-ce parce que je…

  • … n’ai pas envie de me projeter, de prendre des décisions ou de passer à l’action. Je veux que l’on prenne soin de moi.
  • … voudrais que l’on s’intéresse à moi. 
  • … voudrais qu’on me laisse seul, qu’on cesse de me solliciter, de me donner l’impression que l’on a besoin de moi, que sans moi le monde ne tournerait pas ou que les choses iraient moins bien.
  • … veux faire mes choix sans aucune influence extérieure, sans aucune pression. Je voudrais que personne n’attende quoique ce soit de moi. Je voudrais manifester ma propre initiative, sans attentes.
  • … voudrais que l’on comprenne que je suis en difficulté, même si le résultat de ce que je fais est satisfaisant et que j’ai généralement le sourire. Les gens sont peut-être ravis de mon travail, heureux d’être en relation avec moi, mais je veux qu’ils comprennent que je m’épluche considérablement pour faire ce que je fais. Ce n’est pas parce que ça ne se voit pas que ce n’est pas le cas. Certaines choses que je produis me pèsent beaucoup. Je suis donc en difficulté, peut-être même en souffrance.

Une autre raison pourrait que je…

  • veux que l’on m’accepte avec bienveillance. Cela pourrait intégrer le fait que j’aspire à ce que l’on accepte que je me trompe, que je puisse ne pas être à la hauteur, que je sois en retard, que je n’ai pas envie. Ne serait-ce qu’accepter que je puisse ne pas avoir envie.
  • Etc.

On pourrait continuer la liste de ces manifestations de besoins qui peuvent se retrouver non assouvies, au fond.

travailler à sa volonté

Exercice : Passer à l’action

Si vous reconnaissez un de vos besoins, ou si un des vôtres n’est pas présent dans cette liste et vous vient à l’esprit en lisant ce que je partage avec vous, peut-être qu’il est temps de prendre votre cahier de vie

Pour ce faire, mettez ce rendez-vous sur pause après avoir pris de quoi écrire. Si vous ne savez pas de quoi je parle, prenez simplement une feuille de papier et un stylo (j’insiste sur le stylo et non sur le crayon) pour commencer à vous regarder. Ainsi, cherchez à vous comprendre en formulant vos besoins : 

  • Que voulez-vous dire en ayant plus envie de vous projeter, de prendre des décisions et de passer à l’action ? 
  • Comment interpréter votre envie de «flaquer», comme disent les suisses, en empruntant un ce terme aux savonniers ? Que voulez-vous dire ?
Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :   76# Aimez vos ennemis

Ce n’est pas la volonté qui s’écroule, si vous êtes dans ces situations-là. Cela ne veut pas dire que vous auriez besoin d’avoir plus de volonté, non plus. En fait, la volonté de s’écroule pas, elle se manifeste pour vous dire quelque chose. Vous cherchez un moyen de vous dire à vous-même et peut-être à d’autres également. 

Dans les situations dans lesquelles vous avez parfois le sentiment d’être en dépression, vous pouvez reprendre la question à laquelle certains d’entre vous ont répondu par l’affirmative un peu plus haut : Qu’est-ce que je veux dire ? Est-ce que je veux dire que… :

  • J’aimerais être aimé·e ?
  • Ce que je porte et vis est trop lourd pour moi ?
  • Je ne me sens plus la force de poursuivre ce que j’avais entamé ?
  • Je n’ai pas du tout envie et je veux le dire très fort en ayant, pour l’instant, opté pour une action qui le dit en surface, en filigrane ? En même temps, j’entends bien que le choix de cette action ne permet pas aux personnes qui m’entourent de comprendre ce que je veux dire. Je ne fais que le manifester par un choix d’inaction.

Je me suis reconnu·e

Si vous vous reconnaissez dans le profil que je viens de dresser, sachez qu’il peut être bénéfique de passer par le dire. Et c’est valable tant par la verbalisation que par l’écrit. Faites-le pas de manifester ce qui se passe au fond de vous. Si vous en avez besoin, dire « j’ai besoin de me sentir aimé. J’ai besoin de me sentir aimer par moi-même comme par vous » est un pas thérapeutique. 

Il est également possible que vous ressentiez le besoin d’être en phase avec vous-même. Dites alors «J’ai conscience de vivre des choses qui me semblent être des trahisons de moi-même, des manifestations qui sont en inadéquation avec mes valeurs. J’ai donc besoin de couper avec tout ça ». Poursuivez : «Je sens que ma vision de la vie a changé depuis quelques années. Au départ, j’étais en pleine adéquation avec mon action, mais j’ai perçu que, progressivement, un fossé s’est creusé. Peu à peu, il a participé à créer un inconfort qui favorise mon besoin de ne plus agir dans ces domaines ».

Un appel à l’aide

Si vous êtes dans ces situations et que vous avez besoin de le dire, que vous soyez en phase de déprime ou de dépression, parce que vous êtes dans une volonté d’inaction (vous avez bien perçu que j’ai parlé d’une volonté d’inaction, pas uniquement d’un constat) parce que vous voulez dire quelque chose, comprenez cette manifestation comme un appel à l’aide. Votre demande n’est pas d’avoir plus de volonté. 

Par contre, vous prenez conscience que vous avez choisi de lancer un appel, un signal, comme un coup de coude à votre entourage pour dire « j’ai besoin d’aide ». En conséquence, acceptez l’aide qui vous sera proposée. Acceptez d’être aidé·e comme je le disais tout à l’heure quand j’invitais à accepter d’aller mal. 

Un signe de maturité 

Accepter une aide apportée est une force, une qualité. C’est la manifestation d’une maturité.

Ce n’est pas toujours évident puisque nous vivons dans une société dans laquelle il y a une pression quasi continue. On sent que la société aimerait que les gens soient forts. On le dit même pour les cas de deuil « elle est forte, elle n’a pas pleuré ! ». Ou encore, « il est fort. Il a perdu son ami et pourtant il est venu au boulot le lendemain sans prendre aucun jour de congé ». 

D’autres diraient « il est secoué par une maladie grave et pourtant, il est là, avec le sourire… » comme pour désigner une force extraordinaire. Pourquoi serait-ce de la force Alor qu’une telle attitude peut être une forme de fuite ?

Entendez chaque invitation ressemblant à « soyez fort » comme de la poudre aux yeux. Personnellement, je ne vous demande pas d’être fort, mais d’être mature. Quelqu’un de mature accepte d’aller mal, d’avoir besoin d’aide. Plus encore, ils acceptent l’aide qui lui est offerte, voire même, il va la chercher parce qu’il est conscient d’en avoir besoin.  

investir dans la relation est gagnant

Acceptez l’aide

Êtes-vous conscient·e d’avoir besoin d’aide ? Si vous avez une baisse de volonté, cela voudrait dire, de fait, que vous avez besoin d’aide. Ne serait-ce que d’une aide légère même s’il s’agit d’une baisse de volonté occasionnelle. Il peut juste être nécessaire d’en parler à quelqu’un de proche, de bienveillant auquel vous direz « je passe par un moment difficile dans lequel je sens un ras-le-bol. Je ne me sens pas et je n’ai plus d’envie ». Le simple fait de partager votre besoin peut participer à faire que vous vous serez aidé vous-même même si la personne ne vous a donné aucune piste, ayant juste pris le soin de vous écouter. Demander de l’aide comme l’accepter est une façonne faire montre de volonté.

Si je reprends un des exemples mentionnés tout à l’heure : « je vais faire mes choix sans influences, sans aucune pression extérieure. Je n’ai plus envie qu’on me dise quoi faire » peut être une phrase à prononcer pour demander de l’aide. En parler à un pote, à un parent, à un proche ou à un ami peut peut-être faire en sorte que vous alliez mieux. Cela ne signifiait pas que vous n’aviez plus de volonté, mais que vous avez choisi de l’utiliser pour exprimer votre trop-plein de pression. Vous vous serez auto-affirmé·e, vous donnant l’opportunité de recommencer à vous projeter. Ainsi, vous pourrez recommencer à prendre des décisions et à passer à l’action.

La suite au prochain numéro 😉

Cet appel à l’aide peut également concerner des situations bien plus importantes si vous êtes en dépression. Nous les verrons la semaine prochaine. 

Au début de ce rendez-vous, je vous ai informé que j’allais vous présenter les quatre étapes pour aller mieux, seulement je me rends compte que cet article est plus long que je ne le pensais. Or, désireux de ne pas le rallonger et de ne pas précipiter les quatre étapes promises, je vous propose de nous arrêter-là et de profiter des éléments concrets que nous avons déjà évoqués jusqu’ici. 

Résumé d’actions du jours : vous pouvez donc : 

  • Vous poser autour de votre exercice commencé tout à l’heure 
  • Verbaliser et prendre conscience de votre vouloir dire. 

J’insiste pour que vous le fassiez par écrit, même si vous le ferez oralement plus tard. Bien entendu, choisissez quelqu’un de bienveillant. 

Après ce travail préliminaire, retrouvons-nous la semaine prochaine pour décrire les quatre étapes qui feront que vous pourrez faire un pas plus loin pour aller mieux.

Cela dit, si vous avez lu cet article jusqu’au bout, que vous en êtes là, cela veut peut-être dire que vous en aviez besoin ou que des personnes de votre entourage en ont besoin. Alors, avant de passer à autre chose, prenez la mesure de votre besoin et celui des personnes qui vous entourent et qui pourraient s’enrichir de ce rendez-vous, pour le leur partager

Je compte sur vous sachant que vous pouvez être porteur/se de bonheur pour quelqu’un qui en aurait besoin.

Ceci étant, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine avec la suite des quatre étapes pour avoir plus de volonté.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine.

Bye-bye 

7 commentaires

  1. Toujours motivé et plus motivé à réaliser les projets !!! Par contre, ma maman n’est pas très bien en ce moment, je vais lui partagé ton article, cela lui redonnera peut être de la motivation !

  2. Article d’une qualité rare, pour un blog on ne peut plus complet ! Super article, super podcast… C’est validé !

    1. Merci Dénis. À te lire, je me demande ce que tu penseras de la suite la semaine prochaine.
      Merci pour ton retour, en tous cas.


  3. Je trouver génial de faire la différence entre le manque de volonté et le besoin d’exprimer un mal-être. Ça clarifie bien des choses dans ma vie perso. Merci

    1. Tu sais, Marc, ta prise de conscience te sera bienfaisante. Tu sera en mesure de porter davantage attention au fond du sujet, délaissant un peu plus la surface, les apparences.
      Je profite de ta conscience présente pour t’inciter à la bienveillance vis à vis de personnes qui baissent les bras (regard de surface). En prêtant attention à ce qu’elle veulent dire (regard de fond), tu vivras mieux la situation en plus d’être en mesure de les écouter sans les prendre pour des boulets.
      Je te souhaite de belles expériences

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.