51# Dominez la déprime avant qu’elle ne vous domine

Dominez la déprime, c'est tout à fait accessible

51# Dominez la déprime avant qu’elle ne vous domine

Créer votre bonheur implique que vous vous connaissiez

Bonjour à tous, 

La dernière émission a été très riche. Vous avez profité d’un outil simple et incroyable pour sortir de la déprime. Aujourd’hui, je voudrais aller plus loin. Dominez la déprime avant qu’elle ne vous domine. Vous verrez qu’en même temps, je ferai appel à ma formation de naturopathie pour vous apporter des aides naturelles pour reprendre le contrôle de vous-même et ne pas vous laisser dominé(e) par la déprime.  

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, je voudrais récapituler quelques bases. Car il m’apparait nécessaire de replacer les combats et les victoires passées et à venir sur la déprime, dans un contexte général. En effet, loin de moi l’idée que ces émissions ne s’adressent qu’à des personnes dominées par la morosité. Bien évidemment, l’émission dernière et celle d’aujourd’hui vont les aider mais la déprime touche aussi des personnes en pleine forme et joviales. 

Bien que vous ayez un tempérament très pétillant et emprunt à sourire, il vous est sans doute arrivé(e) de passer par des moments de déprime. Ces temps dans lesquelles vous vous demandez ce qui vous arrivait. Vous n’avez rien vu venir et vous vous sentiez submergé(e) par ce que vous viviez. Il est possible que cette situation se trouve être une programmation de déprime comme je vous l’expliquais la semaine dernière. 

Pour certains, et particulièrement pour certaines d’entre vous, certains passages de déprime peuvent correspondre à  des cycles menstruelles ou glandulaires. Les femmes ont un plus sur les hommes. Elles ont une aptitude à plus de sensibilité de ce qui se vit en elle sur le plan physiologique. Les phases glandulaires qui touchent à l’action de l’hypophyse, de l’hypothalamus, de la thyroïde, des ovaires et autres peut donc davantage influer sur le vécu émotionnelle de la femme. Par conséquent, elle sait qu’il peut y avoir un impact sur son humeur. 

La déprime n'est pas une fatalité

Toutefois, il serait erroné de penser que les hommes en sont épargnés. Leur difficulté à se connecter à leur corps émotionnelle les rend moins sensibles à leurs cycles. En, effet, même si les hommes n’ont pas de règles, ils vivent malgré tout de cycles, eux-aussi. Qu’est-ce qui, dans la nature, ne vit pas de cycle ? Le vivant végétal et animal, dont l’humain fait partie, vit de cycles en cycles. De ce fait, passer par des temps de déprime peut faire partie de cycles.

Il serait donc dommage de n’avoir qu’un regard négatif sur la déprime. Elle peut, en effet, être le signe d’un passage, d’une période, d’un besoin de pause ou autres. Je sais que la tendance actuelle est de refuser la douleur et la pénibilité. On aimerait être en pleine forme tout le temps, quitte à se médicament pour cela. A la moindre déprime, trop de médecins dégainent de la chimie. Je trouve cela déplorable et dommageable. Accueillir la déprime comme une étape naturelle dans un cycle me parait important. 

Certes, la déprime devient pénible quand elle pointe son nez trop souvent. C’est là qu’elle est regarder comme le signe d’un déséquilibre. C’est alors Dominer la déprime avant qu’elle ne vous domine devient pertinent. Mais si vous vivez des déprimes une à quatre fois par an, par exemple, tout va bien. Ne cherchez pas à lutter mais à accueillir ce qui se vit. Observez-vous et acceptez de revenir en phase de repos avec une approche des plus naturelles. 

Comment expliquer l’émergence d’une déprime ? 

Pour expliquer l’émergence d’une déprime, je prendrais une image. Elle vous aidera bien à comprendre de quoi il est question quand on parle de déprime. Imaginez vous dans la peau d’un élastique. Vous vivriez plusieurs phases possibles : La phase de repos, la phase de tension ou résistance et la phase de rétractation

1) Abordons d’abord de la phase de repos. C’est celle qui est visible quand l’élastique ne vit rien de particulièrement sensible. Cela correspondrait à votre quotidien sans pression ou tension particulière. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

2) Quant à la phase de tension ou de résistance, elle est assez difficile à décrire. En effet, elle compte des variations de tensions extrêmement diverses. La tension est perceptible pour de petites situations comme pour de grandes. 

3) Enfin, la phase de rétractation n’est pas à confondre avec la phase de repos. Elle est adaptée à une réalité naturelle consécutive à une tension très élevée. Cette même phase est également vécue en cas de tension longue sur l’élastique que vous imaginez être.

Il va de soit que selon l’importance de la charge à laquelle vous ferez face, la phase de tension pourrait être plus grande. Apprendre une « mauvaise nouvelle » (que je place entre guillemets étant donné qu’une information n’est pas mauvaise en soi, c‘est la perception de celui qui la reçoit qui lui donne ce caractère de mauvaise, ou pas), donc apprendre une mauvaise nouvelle peut vous conduire à déclencher en vous une tension élevée ou extrêmement élevée au risque de la rupture de l’élastique que vous êtes. 

En gardant cette image de l’élastique, j’ai constaté qu’une forte tension sur un élastique était rarement la cause d’une rupture. Par contre, ce qui fragilise un élastique est plutôt une tension élevée sur la durée. Après cela, il lui est souvent difficile de retrouver sa position initiale que j’ai appelé la phase de repos. 

De plus, si la tension est très élevée et que l’élastique est lâché d’un coup, avant de retrouver sa phase de repos, il passera naturellement par une phase de rétractation. C’est cette phase que j’appelle la déprime. Le phénomène est similaire en cas de dépression, bien que ce vocable soir classé dans les maladies, chasse gardée, réservée à la seule médecine. Je ne m’y arrêtai donc pas. 

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La déprime est bien la phase naturellement adoptée après une tension très élevée ou après une tension importante installée dans la durée. Le caractère naturelle de cette phase en fait donc un incontournable. Vous ne pouvez pas vivre une tension importante ou durable sans passer par une phase de déprime, que vous la perceviez ou pas. Le fait de savoir cela peut vous donner les moyens de prévenir certaines périodes de déprime, si vous apprenez à bien vous connaître, ayant pris le temps d’apprendre à vous observer. 

Dans la dernière émission, je vous invitais à prendre du recul sur trois périodes de déprime. Je vous invitais à les observer pour identifier les étapes par lesquelles vous passiez avant d’arriver au pic de vos déprimes. Parmi ces étapes, se trouve sans doute une situation perçue comme cause d’une pression très élevée ou durable. Cherchez bien à l’identifier. Il peut s’agir de : 

  • Une situation épuisante ou très stressante au travail
  • Une parole entendu ou une remarque à partir de laquelle vous vous êtes senti(e) blessé(e)
  • Une perception pénible de vos limites, une forte impression d’avoir été dépassée
  • Une période de vie difficile de par sa charge émotionnelle intense ou sa durée
  • Une impression de ne pas arriver à faire face, de n’avoir pas été à la hauteur
  • … La liste n’est pas exhaustive

Dans chacune de ces situations se trouve une tension intense ponctuelle ou une tension installée dans la durée. En visualisant l’élastique, qui nous sert d’exemple depuis tout à l’heure, vous pouvez le voir très très tendu. Si la situation qui le tend ainsi le lâchait d’un coup, l’élastique pourrait lui faire très mal au doigts !

A supposer que la tension ait été durable, lors de son relâchement, l’élastique que vous êtes ne reviendrait pas à sa dimension initiale , correspondant à celle qu’il avait en phase de repos. Il passerait d’abord par une phase de relâchement, plus contractée qu’en phase de repos. Il ne ferait aucun choix pour passer par cette phase. C’est tout à fait naturel. Je pourrais dire que c’est en réponse à une loi naturelle. La déprime est alors un phénomène naturel, une phase de récupération normale avant le retour à une phase de repos. 

La déprime, une étape normale dans un cycle de vie

Quels réflexes adopter face à des tensions intenses ou durables ? Des stress, en somme.

1) Le premier réflexe est de savoir que ces tensions intenses ou durables annoncent une ou des périodes de déprime. Le savoir peut vous permettre de vous y préparer. Or, un des facteurs évidents en période de tension intense ou de tension durable est la surconsommation d’énergie. On peut alors parler de stress. 

En cas de stress, le cortisol augmente. Sachant qu’il est sécrété en général entre 6h et 8h du matin, sa chute impacte de fait le démarrage de la journée. Rien d’étonnant à ce que vous ayez l’impression d’être fatigué(e) au réveil, voire, de vous réveiller avant la sonnerie du réveil. 

En de tels cas, un des minéraux les plus utilisés est le magnésium. Puis, en cas de tension durable, tous les neurotransmetteurs sont hyper-consommés, ce qui cause une carence en dopamine, sérotonine adrénaline et oligoéléments. C’est comme si vous consommiez plus de carburant pour faire du sur place au lieu de l’utiliser pour avancer. 

2) Le second réflexe est donc de se supplémenter en neurotransmetteurs. La logique veut que le magnésium soit le premier de la chaine, bien entendu. J’ai une préférence pour deux complexes contenants tout le groupe des vitamines B impliquées dans la production d’énergie. Ils sont tous les deux équilibrés avec de la taurine, un acide aminée dont le cerveau, les muscles et les yeux ont grandement besoin. Elle joue un rôle important dans l’équilibre du système nerveux. La taurine étant un co-facteur du magnésium, elle en facilitera l’assimilation. Elle intervient également dans protection des membranes cellulaires tout en étant, en plus, un co-acteur dans le rapport potassium-calcium du muscle du coeur. La taurine est donc très importante, en plus de la vitamine B6 qui lui donne son équilibre, pour apporter un rééquilibre après une phase de tension ou de résistance élevée. 

En bas de la transcription de cette émission, sur le blog « heureux au présent », je vous mettrai le lien vers les laboratoires qui proposent ces deux complexes. Notez juste qu’il ne s’agit pas de médicaments puisqu’aucune substance chimique ne s’y trouve. Il est bien question de compléments alimentaires 100% naturels. 

3) Le troisième réflexe à avoir est de vous désoxyder. Pourquoi cela ? La phase de tension intense ou durable produisant une forte consommation de vos ressources énergétiques et minérales entraine une oxydation de l’organisme. D’où l’intérêt de modifier temporairement votre alimentation pour y introduire davantage d’aliments antioxydants. La source première de ces aliments se trouve dans les végétaux, légumes et fruits. Eviter donc les viandes et les aliments raffinés (devenues chimiques) de l’industrie agro-alimentaire. 

Malgré tout, il est très difficile de ravitailler votre organisme en antioxydant uniquement avec l’alimentation si votre phase de pression a été très intense ou très longue. Pour reconstituer un stock suffisant, il vous faudrait trop de temps. Ce qui risquerait de rendre plus long le retour à la phase de repos.

Mieux vaut alors, là encore, opter pour une supplémentation pour accélérer le retour à la phase de repos. Evidemment, je préfère une approche non chimique. Une cure de jus de légumes riches en anti-oxydants peut être un bon secours. Uniquement en regardant la liste suivantes des 10 aliments les plus riches en antioxidants, vous comprendre combien il sera difficile de palier sans supplémentation par le biais de compléments alimentaires : 

  1. Le clou de girofle
  2. Le cacao. …
  3. Le thym. …
  4. Les noix et noisettes. …
  5. Le gingembre. …
  6. L’amande. …
  7. La fraise. …
  8. La pomme.
  9. Baies de goji
  10. Thé vert

Vous voyez ce que je vous disais. Il vous faudrait manger des quantités qui seraient difficilement apprécié compte tenu de certains aliments de cette liste. 

Les meilleurs antioxydants sont les polyphénols, le bêta-carotène, la vitamine C, le sélénium, le lycopène ainsi que les provitamines. Pour faire simple, une cure de vitamine C peut être un très bon début, couplé avec du magnésium. Pour éviter le sucre, les édulcorants et les additifs chimiques qui eux sont acidifiants et généralement présents dans les comprimés de vitamine C vendus dans le commerce et les pharmacies, mieux vaut opter pour de la vitamine C pure L-ascorbique. A ce jour, la meilleure vitamine C L-ascorbique est celle que je mentionne au bas de la retranscription de cet article. Le produits est excellent et très peu cher comparé aux produits à base d’acérola et autres.

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Après, vous pouvez tout de même penser à rééquilibrer votre alimentation. Je vous donne le lien vers le site de Myriam Onno-Faucon dans lequel elle propose des idées de menus pour faciliter le retour à la phase de repos. 

Et comme je vous parlais tout à l’heure de perte importante en oligoéléments, il ne reste plus qu’à accélérer leur apport. Or, il se trouve que le plasma marin est une source incroyable d’oligoéléments. Il compte tous les oligoéléments présents dans le tableau de Dimitri Mendeleïev. Il est le chimiste russe qui s’est attelé à classifier tous les oligo-éléments. Pour l’expliquer, je trouve que le schéma proposé par le site plama-marin.info est très parlant. 

Vous supplémenter et rééquilibrer votre alimentation sont des étapes incontournables pour dominer la déprime avant qu’elle ne vous domine.

En toute transparence, je précise que je ne touche aucun euro pour les références que je vous donne. je vous les donne uniquement pour vous outiller. 

Prenez soin de votre esprit pour dominer la déprime 

Voici un conseil de plus : prenez soin de votre esprit pour dominer la déprime. Je suis persuadé qu’aucun(e) d’entre vous n’est étonné(e) de m’entendre vous donner ce conseil. Autant, prendre soin de votre assiette en conscience vous donnera de dépasser le cap de la déprime pour revenir à une phase de vie plus stable, autant votre alimentation mentale jouera un rôle assez similaire. 

J’ai choisi de ne pas développer cette idée dans la mesure où vous avez toute une émission consacrée à ce sujet. Elle s’intitule « Se nourrir de positif ». Toutefois, en plus de vous encourager à écouter l’émission que je viens de mentionner, je vous invite à filtrer ce que vous écouterez (je pense à de la musique et aux infos radiophonique) comme à filtrer ce que vous regarderez (je pense particulièrement aux infos et films générateurs de stress) pour accélérer le retour à la phase de repos. Là encore, plus vous vous exposerez à des sources enrichissantes, belles, nourrissantes et souriantes et plus vous reviendrez rapidement à une phase de repos. 

Comment s’y prendre ? Aussi simplement que possible. Si vous aimez faire l’amour, allez-y. Si vous aimez donner de votre temps ou de vos talents, faites le pour autant que cela procure du bien à d’autres comme à vous-même. 

Il va de soi d’inclure le filtrage de vos relations. Le retour à la phase de repos sera plus aisé si vous fréquentez des personnes que vous avez choisies de fréquenter. Ne vous obligez pas aux repas de famille pénibles ou au soirée fatigantes entre copains. On pourrait vous dire que c’est une belle occasion de vous changer les idées. Je l’entends bien. Cela dit, mieux vaut éviter de se changer les idées si un des résultats est la fatigue mentale et physique accrue. 

Un des meilleurs moyens de prendre soin de votre esprit est de dormir en fonction de vos besoins et plus de vos envies. « De combien d’heures de sommeil avez-vous besoin ? » est une des questions à laquelle la plupart de mes consultés ne savent pas répondre. Etonnant ! Il semblerait que le sommeil ne fassent plus partie des besoins. Si le psychologue américain Abraham Maslow entendait la difficulté de certains à inclure le sommeil dans la liste des besoins, il se retournerait dans sa tombe.

Dormir est un besoin. Il peut être également un moyen de se réparer. Et puisqu’il est une période idéale pour permettre au corps de se reconstruire, il l’est aussi pour retrouver un équilibre et revenir à une phase de repos. le mieux est donc de vous coucher à la même heure (à une demie-heure prêt) et de vous réveiller à la même heure plusieurs jours d’affilés. Agir ainsi vous aidera grandement pour réduire considérablement votre temps de récupération. Attention à ne pas tomber dans un extrême qui consisterait à dormir plus qu’il n’en faudrait. J’ai mentionné le lit et la chambre à coucher comme des lieux à éviter de fréquenter en cas de déprime. N’utiliser ce lieu et cet objet que pour répondre à votre besoin. Pas à une envie de dormir, de vous y cacher en vous noyant dans le sommeil. Ok ? 

Poser un regard rationnel sur votre déprime 

Puisque vous vous connaissez, vous savez quand vous êtes en forme. Vous savez également quand vous ne l’êtes pas. Vous avez le moral quand… et vous n’avez pas le moral quand… devrait être des réponses aisées à fournir. Est-ce vraiment le cas ? 

Que vous y arriviez facilement ou pas, je vous propose de lister des actions probantes, incontestables, qui signalent que vous êtes en forme. L’exercice est simple : « Quand j’ai le moral, je fais… et je parle plutôt de telle et telle manière. Je fréquentes tels et tels lieux, tels et telles personnes. Je mange comme ceci et comme cela, à telle fréquence. J’aime plutôt manger tels type d’aliments et boire telles boissons. Je m’habille comme ceci et comme cela et choisis mes tenues en tant de temps… J’aime regarder tel type de film, écouter telles genres de musiques. Je pratique tant de temps de sport par jours ou par semaine et je fais mes courses en tant de temps et en prenant plutôt tels et tels produits. Mon ménage est fait à telle fréquence et en tant de temps. Quand je croise des inconnu(e)s, je les regarde de telle et telle manière. Et j’ai tendance à penser plus généralement telles et telles choses ». 

Maintenant faites l’exercice en répondant à ces mêmes questions en précisant les réponses adaptées aux moments où vous n’avez pas le moral. Vous avez remarqué que je mets l’accent sur la manière, la fréquence et le temps passé à faire ce que vous faites en temps de bon moral, en phase de repos. Ces facteurs ne sont pas là par hasard car, la déprime modifie la notion de temps, de qualité et la perception des fréquences. De fait, ces trois dimensions, fréquence, temps passé et manière de faire les choses, en sont impactées. 

Soyez donc bien attentifs aux variations de perceptions et d’actions concernant ces trois domaines. Appliquez-vous pour que vos réponses vous aident vraiment à dominer la déprime avant qu’elle vous domine. 

Je ne voudrais pas être trop long alors je vais m’arrêter là et je continuerai à approfondir ce sujet lors de notre prochain rendez-vous.

En attendant, avancez sur les exercices proposées aujourd’hui. Bien entendu, si vous n’aviez pas écouté l’émission de la semaine dernière, prenez le temps de le faire avant d’avancer sur le travail d’aujourd’hui. Vous en tirerez davantage de bénéfice. 

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne semaine. 

Bye bye


LIENS RESSOURCES mentionnés PENDANT L’éMISSION

Image par Rizal Deathrasher de Pixabay

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